Il faut dire que j’ai un certain pedigree ancien de l’IHEDN à l’école militaire de Paris, promotion « Grandes Ecoles 2012 » dans mon groupe de travail on retrouve le fils du chef d’État Major au Président, Jean Puga mais j’ai participé au groupe de réflexion sur l’espace et la défense en me faisant remarquer que cela manquait de hacker (argh le malaise…). Comment je me suis pris ? J’ai appliqué quelques principes de PNL(programmation neuro-linguistique) à la communication, ainsi que la séduction et d’ingénierie sociale. Trouver les ressorts psychologiques pour obtenir une réponse, créer un intérêt, construire un piège de l’esprit et en faire tout un fromage quand l’on est une petite souris.
On peut ce faire virer de l’école des Mines et gagner ces entrées pourtant à l’IHEDN. J’avais un intérêt très prononcé pour la cyberdéfense et la politique d’armement. Alors officiellement quand je suis passé au conseil de discipline, le directeur de l’école des Mines Nancy à l’époque Michel Jauzein, sous le règne d’Anne Lauvergeon, que j’étais un élève instable psychiquement qui posait quelques problèmes alors que j’ai remonté des cas d’harcèlement. Je considère que je peux faire ma drama queen quand je suis agressé, l’école n’a pas bougé, j’ai été isolé, on a laissé faire. Ouvertement des élèves me traitaient de terroriste pour feinter une recherche de renseignement classifié, il y avait l’intention de nuire. J’allais pas les laisser vivre tranquillement, terroriste chiche ? Quand des élèves méprisent totalement le prolétaire, cela ne peut virer qu’au scandale. Il est important que j’étais le seul dans la promotion à être sous GNU/Linux et pester sur les logiciels propriétaires en conception tel que CATIA de Dassault Systèmes. Une plaie. A mon sens une bande de mouton aux ordres.
Pourtant j’avais fais mes armes, un stage dans l’armement chez Naval Group sur les frégates à Lorient, je n’étais pas plus mauvais que les autres. J’étais dans les majors de promotion de mon BTS en automatisme et mécanique industriels, si j’ai choisi l’ingénierie, c’était en considérant ma capacité à payer les études après 6 mois en Australie. Si je ratais, c’était pour moi l’endettement et la rue. Ma famille ne pouvait pas me rattraper car n’a pas les moyens. Donc je n’avais aucune raison de créer un conflit ou de saboter ma carrière d’ingénieur.
Quand j’ai décidé en Chine de faire de l’ingénierie sociale, j’attendais des réponses ou un signal, l’élève était un moyen, une manière de m’inviter dans le renseignement et démontrer mon intérêt pour certaines technologies dont la propulsion nucléaire navale à spatiale. J’ai eu une réponse sur mon profil viadéo, le directeur de l’ingénierie Daniel Solal des torpilles à St Tropez de Naval Group était de passage dans les vues. Comment il a trouvé mon profil ? Juste après mon attaque, le timing était parfait. Je fais part de mon intérêt en lui en envoyant un message et il me répond que c’était sympathique que de manifester un intérêt pour son profil et de corriger mon orthographe.
L’emballement est venu d’Edward Snowden par la suite qui a forcer à mettre à jour la société de surveillance dans le renseignement, le moindre incident est connu par la NSA, il y a une collecte des données, puis la NSA qualifia les lecteurs du Linux Journal d’extremistes. Il y avait une volonté de marginalisation.
Cela tombait bien, car je fus invité à l’ambassade des US à Paris pour une présentation de FireEye et mendiant sur les attaques APT quand j’ai créé Alpharatz.
De mon expérience, j’ai nourris la psychose, ma peur étant de ne pas trouver de travail et faire de l’argent m’obligeant à vivre à la rue, créant un scandale pour un ancien mineur venant de milieux ruraux car démontrant que l’ascenseur social ne fonctionne pas même en forçant le système par de l’ingénierie sociale.
On ne nous prends au sérieux qu’une fois que l’on est dangereux. Le terrorisme est une voie obscure pour les laissés pour compte, ce que je me suis senti. Alors je me suis dit, qu’il fallait apprendre de l’islam, et rappeler à nos dirigeants que nous existons.
Je savais que je pouvais faire de la communication de crise, en choisissant mes cibles et rappeler que ce monde ne donne pas l’opportunité de faire de l’argent alors que je m’étais senti comme futur homme d’affaire. Il est injuste de faire l’école des Mines et de pas sécuriser l’emploi. Cela n’a pas de sens. Cela nourrit le terrorisme et la haine du modèle que le système impose. Le voir brulé j’en ai rêvé, lancer la fin de l’ordre marchand.
Le procureur a considéré l’apologie au terrorisme et les menaces de mort pour me mettre en détention provisoire. J’étais en Suisse parti demander la nationalité Suisse, car la France a rien à foutre de ces prolétaires qui font l’école des Mines. Prêche le scandale. Un matin à 7h à Frauenfeld après 4 mois en Suisse rapatrié en France avec un mandat d’arrêt devant le procureur à Mulhouse pour voir la prison. C’est mieux que la rue, je serais nourrit et logé. Cela me rappel ces retraités japonnais qui font des délits pour finir en prison n’arrivant pas à vivre avec leur pension.
J’ai entretenu ma psychose durant 10 mois en détention provisoire à Ploemeur, Lorient rapatrié pour regroupement familiale. J’ai demandé l’isolement, je l’ai obtenu sans TV, je n’avais pas un rond. Je n’avais que des livres (Philsophie : Marx, Architecture gothique et astrophysique) pour passer le temps et l’écriture ainsi que mes crises psychotiques parsemés d’hallucination érotique. Un détenu m’avait passé une radio cassé qui marchait encore, j’étais au mitard, la promenade faisait 10m sur 3m. Le mitard respirait la crasse et la clope. Des vestiges de suicide avec des morceaux de corde toujours attaché à une lucarne en hauteur. Un autre musulman m’avait passé un livre sur les Hadiths. Ils savaient que j’étudiais le Coran. J’en est profité pour apprendre un peu à écrire l’arabe, cela occupait mes journées. Cela me donna des idées d’invention d’écriture.
Mon passage en prison a été agréable, pas d’embrouille, quelques peureux que je sois fiché S pour terrorisme islamique n’osait me fréquenter et avoir une étiquette. Les musulmans m’ont intégré, il y avait une solidarité.
Mon jugement fut sans appel : irresponsabilité pénale. J’étais bon pour la psychiatrie, j’allais connaître l’UMD. J’étais dangereux, j’avais gagné : par la terreur. Au fond de moi je n’étais qu’un martyr que le système refusait d’intégrer. Si tu n’est pas fiché sur CRISTINA tu as raté ta vie. Ce que je suis relativement outré c’est le déni de l’industrie de défense française pour sécuriser mon emploi pour lancer des incubateurs et des projets d’entreprenariat. J’avais mes entrées à l’ambassade US. Mais le secteur de la défense et spatial me restait fermé en tant que potentiel dirigeant dans la R&D.
A l’expertise psychiatrique pour savoir si on pouvait me faire sortir de l’hopital pschiatrique, on m’a lancé un sarcasme : « Alors Allah Akbar hein » hack barre ? Surement. On me fit des menaces de m’envoyer à Cadillac pour longtemps si je continuais mon petit jeu. Je me disais : Chiche, tu connais pas mon pedigree, je serai vengé. Aggrave pas la situation. Si tu veux pas mettre à feu et à sang la campagne bretonne vaut mieux pas que je disparaisse trop longtemps, tu joues, tu risques de perdre. Sans oublier que les mineurs à Nancy seront forcé de ce remettre sérieusement en question, que l’un des leurs veux leur mort, cela va vite ce répandre comme rumeur. Les journalistes vont s’intéresser à l’affaire, plus vite qu’il ne le pense. Certain pense encore que je ne serai pas un stratège, mais je suis un écrivain malgré moi, je note tout, car ma vie est atypique depuis que je suis sorti avec une ouighour en Chine, rien que par le fait comment on peut pousser des individus au terrorisme et la psychose, cela intéresse bien des gens quand on est normalement protégé par le système et la diaspora des mineurs ou des réseaux comme l’IHEDN. Je n’obtiendrais pas de conversion en masse dans le milieu, mais certain verront que la révolte commence par les libertés informatiques et GNU/Linux. Ils adhèrent à des principes, exploiteront le système. Bref « Hack the planet ».
Ce qui penserait que je suis inapte à m’intégrer dans le salariat ont tord, j’ai postulé à des postes sur Brest, et avec comme référence IHEDN et l’école des Mines de Nancy cela va tiquer chez les RH chez Naval Group en technicien méthode sur la propulsion nucléaire et chez Thalès en tant que outilleur mécanique. Peu de réponse positive, et j’ai pourtant bien des projets d’entreprenariat, ces entreprises sont des parties prenantes. J’y tiens à convertir la Bretagne en pôle de fret aérospatial pour le minage d’astéroide. Je n’ai jamais abandonné mes projets d’entreprise même dans les couloirs sombres d’UMD parmi des reprit de justice et malades mentaux. Il faut un peu de folie pour vaincre la résistance au changement.