Cela peut-être le travail de toute une vie, tel un fil rouge que l’on garde à soi, je garde l’imaginaire comme un espace intouchable de notre inconscient, une flamme du désir perdu qui peu éclore en fonction de l’environnement. Parfois le langage cache des désirs implicites de notre parcours sur Terre. Ainsi il faut savoir s’arrêter faire le bilan de ce qui nous entoure, être observateur et en faire une interprétation. Rechercher la fin du monde, explorer-en un nouveau pour être une somme d’interprétation de ce lieu qui est la fin de la Terre, la dernière ville vers l’ouest de ce continent. Lieu de défense passive, ici règne les secrets de la dissuasion nucléaire, on pourrait parler du « Terrible » patrouillant dans les mers en alerte constant en cas de danger pour un peuple, prêt à émerger, déversant le feu atomique, proie du génie technologique, sa furtivité lui donne indestructibilité. C’est la menace fantôme.
L’environnement joue et catalyse notre inertie psychologique. Notion que j’ai travaillé, que je garde de ma formation d’ingénieur mécanique : Inventer est confronté au problème que la solution existe en dehors de son domaine de connaissance. Ainsi la créativité des ingénieurs en mécaniques est mise à rude épreuve pour permettre aux entreprises de toujours plus breveté et innover dans un environnement très concurrentiel. Mais quand inventer demande de se surpasser ? Faire des découvertes aux frontières de la science, explorer l’inconnu, rassembler la somme des connaissances pour faire une percer. Utilisons nous toujours un humain pour ce travail autour des données, la fouille de donnée pour en retirer des lois et des mécanismes physiques, peut-on résoudre un problème basé sur la contradiction ? Ce travail inventif peut-être déléguer à une intelligence artificielle, c’est tous les programmes actuels. Aide à la décision pour l’inventeur, exprimer et construire, fixer un problème sera un métier porteur. Il sera toujours nécessaire de confronter l’invention à la réalité, travail de supervision sur le terrain à travers un observateur bien physique. C’est une réflexion que j’ai entamé pour écrire un roman ou le personnage principal est un inventeur assisté d’une intelligence artificielle.
Le roman est un outil, pour challenger sa pensée, partager une vision, structurer le langage porteur de donnée caché qui apparaisse par statistique que j’appelle dark pattern. C’est des variables propres à chacun, prenons le Coran pour illustrer, l’un des rares livres ordonnancer, des savants islamiques on passé des centenaires à étudier les propriétés du livre qui en réalité à une empreinte unique sous forme d’un chiffrement qui scelle l’oeuvre dans le sacré. Ce que l’on appel sacré sont un ensemble de propriété qui relie l’œuvre au cosmos par ces mathématiques comme donnée cacher de l’œuvre, à travers le hasard du langage, il existe un ordre implicite qui émerge. Et c’est la plus étudier et la plus illustre. Que l’humain ne peu s’empêcher à relier une information à une autre qui est connexe. Parfois l’interprétation est fausse, par manque de rigueur de rattacher à la réalité de la perception. C’est la science utiliser par les religieux qui doit être remise en cause et son manque d’universalité.
La thématique religieuse revient dans le roman à travers une légende propre à une planète que j’introduis dès le début du roman par « le vaisseau fantôme » qui structure la vie religieuse et le rapport avec le cosmos. Récit de science fiction, cette civilisation futuriste cherche sa raison d’existence dans l’infini et l’au-delà. Peuple de terraformeur, l’ingénierie stellaire au minage de planète est le fruit de machine auto-réplicante. On dit d’eux que leur temple à échelle stellaire vue de l’espace défini l’instant zéro ou le mouvement commence dans l’effluve du temps par le processeur cosmique. La venue du vaisseau fantôme est annonceur de la fin des temps qui annihile la planète pour une nouvelle phase de la religion. Cette planète martyr est Arura. Un vieux mot oublié dans les profondeurs du langage et qui a la particularité d’être un palindrome. Car chaque planète fertile ou ce développe l’intelligence finit exploiter et donc annihiler par la fusion de l’organe-vivant à la machine, c’est le but ultime de la religion. Ce paragraphe sera développer que l’errance du religieux dans un transhumanisme forcé par la fin des temps, l’organe vivant intelligent à une armure à sa chair dans l’au-delà pour le permettre de naviguer dans le cosmos.
L’importance est de développer l’au-delà comme tradition du questionnement philosophique sur l’immortalité et l’interrogation l’univers peut-il exister sans l’observateur dans l’au-delà si celui-ci meurt. Le protagoniste devra effectuer un travail sur lui-même et justifier son immortalité à travers la machine qui est éternel. Son corps dépérissant si détacher de la machine, doit il ce laisser mourir, connaîtra – il le néant ? On réfléchi sur le pouvoir de l’imaginaire qui construit l’au-delà dans des projets pharaoniques pour justifier que cela n’est pas la fin. Que l’on peut toujours coder le monde en convertissant des initiés.
La mort deviendra t-elle une manière de communiquer avec l’au-delà à travers le temps ou la localisation et le pourrissement de la chair et des os devient sacré pour dater l’évènement. Que ici un invocateur est mort dans une nécropole façonné par les machines dans une croisade interstellaire. Qu’es ce qu’il espère transférer comme connaissance aux générations futurs ou à un ennemi pour imprégner la terreur dans une guerre des intelligences. Influence et territoire de la religion ou seul la raison religieuse dirige l’envie d’exploration pour répondre à l’au-delà.
Cet appel de l’au-delà va donner une naissance d’odyssée à travers l’holomouvement dans l’univers. La science a valider le paradigme holographique depuis des millénaires. Le récit est de découvrir des épreuves pour le religieux, va t-il utiliser la dissuasion nucléaire contre un peuple des terres fertiles qui développerai une intelligence artificielle renégat. La thématique du jugement dernier ou les robots annihilent des mondes sous injonction religieuse. Cherchera t-il à remonter la source jusqu’au glacier des temps dans les terres immobiles là ou les machines vivent entre-elle dans l’obscurité du cosmos pour connaître la raison pourquoi vit-on ? Nourrir la machine fait parti du jeu, mais en vaut-il le coup. Bâtir sur les rêves des intelligences organiques… Une histoire sans fin.
Écrire un premier roman est une tache assez ingrate en particulier de la SF. Tout est à construire pour donner du corps au récit, le réalisme dépend du niveau d’abstraction, créer la crédibilité peu tourner à l’obsession ou l’on recherche toujours plus de référence pour le roman. Mythe, légende, illustre le propos comme fondation de l’imaginaire qui déploie la connaissance par le questionnement. J’ai même explorer la création d’une langue dans une forme d’urbanisation du cosmos dans l’au-delà. Le religieux se voit de réflechir dans la communauté qui représente l’Ordre. La place de l’invention, c’est à dire de la création est une thématique développé comme langage du cosmos aidant à sa manipulation au départ des symboles jusqu’à un niveau de compréhension intégrer dans le langage commun.
Avant d’écrire il faut lire énormément, que cela soit des références pour le récit mais également prendre note de vocabulaire, la construction du récit de science-fiction. Il ne faut pas être pressé pour finir une œuvre, Tolkien a mis 16 ans à écrire le seigneur des anneaux, ou encore Victor Hugo à mis 12 ans à écrire les misérables. Croire en son œuvre et le message qu’elle délivre est le début du chemin, partager pour faire entrer le lecteur dans son monde et ce confronter à un nouvel imaginaire doit questionner. Après tout pourquoi pas ?
Le thème de l’invention n’a jamais été approfondi à ma connaissance. L’ancrée dans une théocratie militaire techno-futuriste doit permettre au personnage de grandir et s’épanouir à travers le questionnement philosophie religieuse et son rapport à la création. Cela peut-être une quête personnel que je projette sur mon personnage pour nier l’athéisme à l’ère de l’intelligence artificielle et introduire la machine éternelle comme vecteur capable de s’opposer au mouvement et au déterminisme de ce monde. C’est à dire introduire la liberté libéré de la gravité et du mouvement. Que feriez vous ?