Critique de FFXIV

Tu as été sur FFXIV Online Anthony? Oui j'ai été sur PS4. J'avais un abonnement, et un perso, je jouais arcaniste / invocateur. J'ai monté un perso lvl 50.

Mais j'ai pas du tout accroché... Une grosse déception.

Tout d'abord le vrai problème du jeu: c'est trop woke. FFXIV est une usine à gaz, un fourre tout. Ils veulent être le plus inclusif possible pour drainer du public, alors cela devient multi-culturel, etc...

Et c'est problèmatique, c'est à dire il n'y a plus de cadre... Le framework. Imagine un abrutis qui tente de mélanger la culture celtique ou nordique avec l'asie orientale... C'est un peu qu'à tenter de faire FFXIV. On mélange tout le monde. Il aurait du séparer clairement les cultures et faire des guerres de royaume et souveraineté...

Les invocateurs par exemple ne sont pas des pirates et marins tel que suggère FF14. La carrière d'invocateur est lié à la ville et la région maritime de limsa Lominsa.

N'importe quoi...

Et je te parle pas des invocations, totalement ridicule... Eles doivent être violente et primal, on a l'impression d'être chez les bisounours.

Et les quêtes... Un carnage, on a l'impression de parler à un enfant de 11 ans. Il nous prennent pour de gros mongol, enfantillage.

Déjà, quand j'ai vu la quête principale, devenir un guerrier de la lumière. Je me suis dis... Putain qu'es-ce qu'ils ont fumé encore. Votre but est de sauver le monde... Et dés les premiers instants du jeu, la parti est déjà terminé, on parle de l'invocation de Bahamut qui sème le chaos, menaçant de détruire le monde.

Encore une fois c'est de la manipulation, de la PNL, pour que des bandes de gogols luttent dans la lumière et craignent Bahamut, le roi des dragons. A ça ma clairement saoulé.

On voit en plus que Square Enix est en manque d'inspiration dans FFXIV et mélange plusieurs de ces opus dans le jeu. Il recycle ces jeux, en manque d'inspiration en réalité.

On dirait qu'ils ont épuisé le storytelling de la franchise Final Fantasy, ils cherchent à innover et font alors n'importe quoi.

Cela ce répercute même sur Final Fantasy XVI... Dans le même style, mais pas convaincu. C'est pas un hit FFXVI. Il n'y a que 131,939 détenteurs du jeu sur PS5... Sur JV.com il n'a eu que 13,4/20 comme note (que 15 notes...)... Décevant. Dans les critiques, ils disent tous que Square Enix, nous prends pour des enfants, et avec des gentils et des méchants d'un côté... On critique également beaucoup le côté tape à l'oeil de Final Fantasy et ces cinématiques, mais derrière le contenu en tant que gameplay est très pauvre.

Normalement les invocations, sont d'une rare violence, et Final Fantasy devrait donc être un jeu mature... Mais on s'en éloigne clairement.

La licence Final Fantasy a t-elle de l'avenir? Je pense pas, il faudrait un véritable MMORPG, un monde persistant interdit aux 18+ comme violence extrème en particulier des invocations et des rituels pour les créer, pour renouveller l'histoire en particulier que c'est funéraire, souvent né de martyr, et construire un storytelling autour. L'audace serait de basculer dans un MMORPG interstellaire et cacher des invocations dans une quête dans des temples sur des planètes, des astéroides, des lunes, etc... Il faudrait résoudre des enigme tel qu'un prologue pour maitriser la téléportation ou la propulsion spatiale dans un univers steampunk. Il faut construire un labyrinthe. Des univers imbriqués, comme des poupées russes et retourner la tête des joueurs. Un truc mindfuck en réalité. Ce qu'à abordé Final Fantasy X, le préféré des joueurs...

Cela pourrait être intéressant comme scénario... Car le joueur devra questionné: qui a construis les temples, qu'elle puissance... Et il sera en quête.

Réalité instable (Altération de la perception)

Ce que le joueur croit être vrai ne l’est pas. Et ce n’est révélé qu’après engagement émotionnel.

  • Dans Silent Hill 2, tu découvres que le héros a tué sa femme.
  • Dans Spec Ops: The Line, tu crois faire le bien, mais tu participes à un massacre.
  • Dans The Stanley Parable, le narrateur ment ou s’adapte à toi.

PRINCIPE: Laisse le joueur construire des repères. Puis détruis-les.

Le joueur est le monstre / le problème

Quand on réalise que l’ennemi... c’est soi-même.

  • Undertale : rejouer en mode génocide révèle une mémoire cachée du jeu.
  • Doki Doki Literature Club : tu crois jouer à un visual novel mignon, mais l’IA devient consciente de toi.
  • Pony Island : le jeu est piégé, et tu es une âme prisonnière.

PRINCIPE: Donne l’illusion que le joueur est libre… jusqu’à ce qu’il réalise qu’il est l’engrenage central de la tragédie.

Temps et mémoire déformés

Quand l’histoire n’est pas linéaire… ou que ta mémoire est un mensonge.

  • Braid : tu crois sauver la princesse, mais tu la poursuivais comme un monstre.
  • Outer Wilds : une boucle temporelle révèle un mystère cosmique.
  • NieR: Automata : chaque run recontextualise tout ce que tu croyais savoir.

PRINCIPE: La narration cachée dans la structure elle-même. Tu ne comprends l’histoire qu’à la toute fin… ou jamais complètement.

Sacrifices impensables

Quand le jeu te fait faire quelque chose que tu ne veux pas faire.

  • Shadow of the Colossus : tu tues des créatures magnifiques… pour sauver quelqu’un. Et tu regrettes.
  • The Walking Dead (Telltale) : tuer un enfant, choisir qui doit mourir.
  • NieR : effacer ta sauvegarde pour aider un autre joueur inconnu.

PRINCIPE: Frappe l’émotion morale du joueur. Confronte-le à un choix qu’il déteste.

Ambiguïté fondamentale

Quand même à la fin… tu ne sais pas ce qui est vrai.

  • Pathologic : trois versions contradictoires de la réalité.
  • The Witness : aucune explication, juste des symboles… et des doutes.
  • Death Stranding : un lore absurde, cosmique, poétique et volontairement opaque.

PRINCIPE: Ne donne jamais toutes les réponses. L’incompréhension est le vertige.