De la classe ouvrière schizophrène en Grandes Ecoles à Mines Nancy

Je vais vous raconter comment j’ai percé dans le milieu du renseignement au point de devenir une terreur. Car en tant qu’entrepreneur et ayant une vision de création de filière industriel ceux-ci devront être aux ordres, autant qu’à faire que d’être craint. De la véritable destruction créatrice.

Mon nom est Anthony Le Goff, et je suis connu comme ancien élève-ingénieur à l’école des Mines de Nancy, mais egalement de l’IHEDN et de la fac de science de l’université de Lorraine en ingénierie système, ayant connu des accusations de terrorisme et l’effondrement psychique à travers la psychose puis interné en UMD.

Mes origines modestes en campagne bretonne

La naissance est une tragédie dans le sens qu’elle localise l’individu et pose à un cadre à une histoire. Ainsi je suis né en 1989 pour les débuts du World Wide Web aux prémices des consoles portables avec la Nintendo GameBoy. Je fais donc partie de cet héritage, je suis un millénial comme tant d’autres. La ou cela devient plus intéressant c’est ma localisation à Guiscriff aux origines familiales dans la campagne bretonne dans l’hameau Cosquer St Antoine isolé sur une butte à 200m de hauteur proche d’une vallée et de forêts que seul les locaux connaissent. Des points d’intérêt conséquent fait que à deux pas à vol d’oiseau on retrouve des mines de kaolin et d’uranium. La terre est riche dans le massif armoricain mais sous exploité et utilisé comme réserve stratégique. Curiosité familliale mon nom en breton veut dire forgeron et on sait que les forges en France ont été reconverti dans l’industrie nucléaire dont on retrouve des incidents tels que Plogoff au bout du monde et la guerre des pierres contre les centrales à une époque sombre d’éducation en science. Je suis un pro-nucléaire, et fait de l’uranium ainsi que le thorium comme des ressources essentielles dans l’énergie. Mais egalement je suis un partisan de rechercher des solutions en autonomie énergétique en propulsion nucléaire. C’est un peu mon pêché mignon, j’ai abordé la physique nucléaire durant l’enfance par l’astrophysique et la nucléosynthèse des étoiles, ainsi que durant mon passage à la prison de Plœmeur proche de Lorient, je me suis passionné de sciences, cosmologies et un peu de géologie comme passe temps. Plutôt bon élève, je reste le meilleur en mathématique en primaire, ainsi qu’en physique au collège. Je suis juste un passionné, n’ayant pas un QI extravagant, aux dernières nouvelles 110, j’ai juste appris à travailler et obtenir la satisfaction de mériter mes notes tout en restant un bavard. Le collège que je fréquente est celui de Gourin dans la pampa bretonne. J’ai un profile de physicien / ingénieur mais je vais revoir mes ambitions à la baisse par conditionnement social. La famille n’a pas les moyens de payer des études. Ils ont des revenus modestes et ma mère est tombé en maladie, une dépression qui la marquera à vie ou le choc fut de travailler à accrocher des dindes, dans une des rares usines à la production dans l’agro pour payer la maison. On ne vit pas dans la précarité, on a construit une maison à la campagne mais on ne vit pas sur l’or. Mon père va trouver un job comme cariste dans un grand groupe de l’agro-alimentaire. On a la particularité d’être une famille de cycliste, tout le monde pratique, oncle, cousin et je vais faire un peu de compétition durant ma jeunesse. J’ai ainsi appris la rigueur, l’endurance et j’ai eu une hygiène de vie drastique. Le lycée Colbert pour moi est un souffle d’air frais ou je quitte la campagne pour la ville : Lorient. Je ferais une seconde générale mais malgré des notes correctes je ne vais pas choisir la filière S SI Sciences de l’ingénieur mais la filière mécanique productique pour viser un BTS en étude courte dans le même lycée et donc réduire les frais scolaires. Je suis boursier comme je n’ai qu’un parent qui travail comme ouvrier. Je vais côtoyer à l’internat des camarades en électronique qui vont m’initier à GNU/Linux sous Mandrake à 16 ans. Je vais adopter la mentalité du logiciel libre et prendre position pour les libertés numériques, je vais rapidement m’habituer à la mentalité pour en BTS en mécanique et automatisme industriels m’initier au hacking. Je vais apprendre à maitriser la ligne de commande sous GNU/Linux, faire un peu de scripting sous bash et quelques bases en réseau pour sniffer des paquêts réseaux, modifier mon adresse MAC. En plein débat à l’assemblée pour la loi Hadopi et les par-feux openoffice(sic) d’Albanel. Je voulais voir les débats à l’assemblée nationale alors j’ai appris à pirater la connexion internet de mes voisins dans ma chambre à Lorient. Cet l’apprentissage du fameux Aircrack-ng comme outils chez les hackers. Tout un écosystème va ce mettre en place, on est une génération né de la quadrature du net sur les IRC. Sincèrement libertaire, ma première entrée dans la piraterie sera plutôt discrête, mais je vais commencer à parasiter les réseaux. J’étais connu dans ma classe pour celui qui squatte le wifi de son voisin, pour optimiser sa bande passante, je me permettais de télécharger illégalement la nuit pour qu’il ne remarque rien. Parfois je faisais un peu de MMORPG, mon dernier MMO etait un véritable serious game de gestion d’entreprise, j’avais un poste de diplomatie sur EVE Online dans l’alliance CVA de Providence en nullsec. C’était la bonne époque, je suis nostalgique de mes périodes gamers que j’ai abandonné sous GNU/Linux pour préférer les études et la programmation sous le logiciel libre.

Le début d’une légende locale

Malgré que je viens d’un milieu défavorisé rural, je vais élaborer un plan et décider de quitter mon conditionnement social, je me prends en main, je lis Pouvoir Illimité de Tony Robbins, je ne vais plus écouter ma famille et décider de faire le nécessaire. Ainsi j’ai un ami de promo qui parle d’aller récolter des fraises en Australie. Je trouve cela osé que de partir à l’autre bout du monde et l’idée nait de partir pour faire de l’expérience en Australie pour récupérer en école d’ingénieur. Je vais donc faire un effort en fin de BTS pour le valider avec 14,67 (Second de promotion) de moyenne dont 17 et 15 en physique / mathématique dans l’espoir d’entrée en école d’ingénieur. Mais il y a des contraintes externes importantes, je dois trouver l’argent, ma famille ne payera rien, ainsi je vais prendre le premier travail après mon BTS dans la maintenance industrielle dans l’agro-alimentaire et économiser pour d’abord payer le voyage en Australie. Mon ami de promotion lache l’affaire et me laisse seul, j’ai bien l’intention de partir, voir du pays, je vais sympathiser sur un forum de discussion avec une fille d’Antibes et nous allons partir ensemble pour Perth, en Western Australia. Le voyage ensemble va durer 15 jours, nous avons des projets différents, je serai plus solitaire et je vais devoir prendre quelques décisions en fonction des ressources et évènements. Je n’ai pas Papa et Maman au cas cela tourne mal, j’aurai que mes yeux pour pleurer et si je viens me plaindre, mon père me dira bien fait pour ta gueule. Bref, je vais devoir travailler et faire de l’argent, faire des aller-retour au consulat français pour valider des traductions de diplômes pour me permettre de travailler avec le visa WHV. Cela va marcher je vais m’exiler à Kalgoorlie dans le désert et trouver un job de monteur / mécanicien dans une usine de traitement d’une mine d’or puis de technicien dans un golf. Je vais faire de l’argent et rester 6 mois. Je me dis que cela est suffisant pour une école d’ingénieur, je surmonte mes peurs et prends contact pour postuler à l’Insic, formation de conception de produit de l’école des Mines de Nancy, dans la lignée de mon BTS sur la machine spéciale. Je vais revenir en France pour faire les admissions à l’oral pour le dossier. Ma performance ne va pas être convaincante, pourtant j’en parle que je viens d’Australie et que je parle maintenant anglais en support à mes notes de BTS, je suis quand même pas major de promo mais second. Pas convaincu de ma motivation, je serai sur liste d’attente. J’ai trouvé cela déjà comme un affront, mon parcours ce n’est pas tous les jours qu’ils faisaient face et encore moins venant de famille rurale paysanne, ouvrière. Je soupçonne au départ un problème de souci de favoritisme, ma grande-tente est directrice des relations industriels de l’école des Mines de Nancy, pure coïncidence, dans la famille c’est la seule diplômé et cadre dans le milieu. Je vais être repêché alors que j’ai un emploi d’automaticien, je quitte mon poste pour me lancer dans une école d’ingénieur. Mais je suis averti, j’aurai pas de traitement de faveur.

L’ère des hypocrites

Je vais vivre de désillusion. Je vais jamais véritablement m’intégrer déjà par le gouffre avec mon milieu social face à des familles de cadre dont il n’élève pas véritablement dans le respect du milieu ouvrier qui sans eux ne fait pas tourner les usines, le snobisme va vite se former avec des clans. Dans mon esprit je viens avec des idées nobles de supprimer le travail et réduire la pénibilité des tâches en concevant des machines et robots. Et bien cela va vite déraper. Parlons de l’intégration à l’école, je vais découvrir une bande de sauvage, ils vont casser du materiel chez un camping et personnellement je vais voir ma tente pietiner et démonter ainsi que le drapeau breton que j’ai emmené souillé par du vomi et mis au feu. C’est que je suis attaché à la Bretagne, mes relations en centre-Bretagne il y a quelques régionalistes et c’est des coins ou le FLB-ARB est toujours présent tel un navire fantôme. Je vais avoir en travers de la gorge cette défiance de quelques ahuris qui normalement l’école intègre dans une problématique de faire dialoguer les cultures et régions. J’y ai cru. C’est sans devoir se coltiner les mâles alphas du groupe qui se pose en chef. La plaie commence. Étant plutôt rebelle mais relations avec l’autorité et la hiérarchie sont plutôt houleuse, et je vais en faire les frais. Mais cela conditionne également les innovateurs et les créatifs voir les hackers. J’ai déjà choisi mon camp et je vais m’amuser à tester ces gens, les mettre à l’épreuve, voir la sueur de futur dirigeant ou chef de projet durant ma scolarité. Je ne joue pas ma carrière et l’échec est une hypothèse de travail. Je vais poser un premier appât pour voir le niveau de prédation qui va mordre à l’hameçon. L’un de mes camarades à postuler pour le poste de président de BDE, alors voyons le leadership. De mon côté j’ai obtenu les numéros d’un groupe d’infirmière au bar, dont l’une va m’embrasser en soirée. Je décide de donner ce numéro à notre futur leader. Que va-t-il en faire lui qui est en couple. La réponse va vite être rêglé, il va coucher avec en en faire sa fuckfriend. Il a mordu, il a pensée que je lui faisais un cadeau ou de soumission, je ne sais pas, mais quand on m’offre quelques choses j’attends de voir en retour, tiens il a une sœur célibataire, bref il ne m’aura jamais rien donné en retour ce rat, mais cela va être comique car l’infirmière va continuer à me séduire, étant donnée qu’elle sait bien qu’il est en couple et que je reste le prix à ces yeux. Cela va prendre une autre tournure quand ce camarade de classe va ce vanter de sortir avec et me traiter comme un compétiteur en l’occurrence. La fameuse solidarité des mineurs, tu parles d’une élite. Au moindre bout de viande, le traitement que subit l’infirmière, pour assouvir l’égo de certain et le pouvoir par leur relation aux femmes. Il avait intérêt à devenir docile et me picorer dans la main par la suite. Je vais passer la première année sans encombre et avoir mes partiels au rattrapage. Je vais être bousculer en fin de première année par un autre du bureau des étudiants prétendant au trône qui me traitera de sac à merde. Les enfantillages vont me donner des idées et je compte laisser une trace sincère. La deuxième année l’infirmière est de plus en plus pressante, m’invite à une petite fête, mais je tiens et continu à regarder le bordel avec un regard intéressé. Je vais être un peu rejeté, ou plutôt pas invité par mes camarades de classe à la petite sauterie avec les infirmières. Quel manque d’éducation. Durant mon stage je sors avec une fille des beaux-arts à Lorient, elle veut aller à Berlin et je lui donne l’adresse d’un camarade de classe à Nancy. Second appât. A la rentrée il va s’empresser de me dire qu’il a couché aussi avec. Je me dis vraiment, je suis tombé sur une bande de demeuré. Je suis joueur et balance à une soirée que je suis un PUA, un pick-up artist et je raconte ma rencontre en Australie avec des experts et coachs en séduction. J’ai tenu un journal sur Art de Séduire et fréquente le forum, il y a des articles que j’ai signé de mon pseudo, je raconte quelques techniques, ainsi que des noms de mentor comme Neil Strauss, écrivain de la biographie de Marylin Manson qui a pénétré dans ces sociétés secrètes, avec le mythe de la misogynie entretenu qui est une façade. La plupart ce moque de moi car je suis célibataire, ils ne pensent qu’à me demander des scores, avec combien de fille je couche : de la compétition et de la performance, tous ce qui les intéresse. Alors que dans la séduction ce qui m’intéresse sont les dynamiques sociales et faire de la philosophie ou discuter d’une nouvelle technique à base de PNL et d’ingénierie sociale pour intéresser les femmes, créer le déclic. Plus qu’un morceau de viande, faire preuve de créativité pour rompre les barrières défensives des femmes est un amusement. On rencontre souvent des esprits brillantes parmi certaine femmes qui ont l’habitude d’être abordé et qui vont jouer le jeu de séduction. Je vais en faire les frais en Chine. Car je pars pour la Chine en seconde année, le type qui me considère comme un sac à merde, appelons-le Richard, m’invite à venir avec lui en stage dans une entreprise de yachting, j’étais dans le naval de défense auparavant. Il me passe la pommade pour parler d’amitié, je le trouve louche, j’envoi un mail à une fille de la promo sur son comportement qui me répondra pas, et commence à nourrir la psychose que je vais garder. J’ai le sentiment d’être l’homme de trop. Il envoie sa petite amie avec lui en Chine, la pauvre elle va s’ennuyer toute les journées. Le stage va vite rapidement tourné en eau de boudin, de sac à merde sans aucune honte il me demandera par la suite de l’appeler maître car sans lui je suis rien, je n’aurai pas eu de stage. Il ose. J’avais une touche en Angleterre à Powertrain que j’ai refusé. Mon patron en Chine va l’adorer également, et le traitera devant moi d’asshole, de me demerder avec pour boucler le projet de stage. Grosse ambiance. Je vais découvrir la face caché du personnage au travail qui passera son temps à tenter de communiquer sur les réseaux sociaux et messagerie, me dévoilera sa source d’information de sa pensée : wikistrike haut lieu de fake news pour complotiste, moi qui est plutôt rationaliste d’un doute sceptique, je me voyais bien discuter avec tiens. Il formera une alliance avec le camarade de classe auquel je lui est légué(sic) une infirmière, nommons-le Louis. C’est cadeau, mais c’est pas fini, je suis tout feu tout flamme après quelques mois en Chine, je vais aborder une chinoise ouighour , Amina, dans un bar d’expat qui sera ma compagne durant mon passage, elle était prof de mandarin, parlais 4 langues couramment. Me présentera sa sœur et j’aurai le droit au restaurant payé par madame, si elle savait comme je suis pauvre. Le genre de personne utile pour faire de l’HUMINT parmi les expatriés, mais on me traitera de mauvaise langue, elle ne m’a jamais demandé de renseignement sur mes activités dans l’armement. Mais tu connais les français et les chinoises, on en écrit des bouquins sur les liaisons dangereuses, qui cache un brin de racisme et d’un clivage réel. Mon camarade de classe démontra tout son talent de rançais en essayant de démontrer que non c’est lui quelle regarde et porte un intérêt. Il va la draguer rapidement, tenter sa chance et se prendre une valise. Mais pourquoi donc j’attire que les abrutis envieux et prédateurs sur mes relations ? Je me suis senti aggressé, il m’a fait la remarque qu’il me trouvais fort mentalement. Qu’elle est ce sous-entendu que cherches-tu à te prouver dans cette affirmation, si ce n’est de la frustration de ne pas arriver à tes fins ? Je vais développer un syndrome de persécution typique des psychoses, je tente tant bien que je peux de rationaliser la situation et faire appel à la logique, je ne vois que deux abrutis Richard et Louis leagué dans le but d’être malveillant pour faire pression et que je quitte l’école pour protéger leur petite sauterie avec des infirmières et affirmer l’autorité du male dominant(sic) qui triche avec sa copine mais tente de sauver sa face. Je vais mettre à l’épreuve Louis, je me considère trop souvent attaqué, je dois donc répondre, je vais me farcir un riche et le prendre pour une buse comme il se doit.

L’ingénierie sociale

Ainsi j’ai préparé un email de phishing que je vais envoyé de Chine via les boites emails de l’université de Lorraine pour feinter une cyberattaque. Je vais tester le sang froid de ces étudiants que ce prétende être les futurs dirigeants et chef de projets en R&D, il n’a aucune expérience en intelligence économique, c’est une cible facile, le jeu est simple : il faut rien faire et garder son calme, ne pas réagir, ou alors c’est que j’ai trouvé une faille psychologique pour produire un évènement qui va démontrer sa malveillance. Le mail de phishing demande quelques informations sur son entreprise de stage Astrium, j’aime bien le spatial et l’astronomie en particulier la propulsion, je suis donc curieux de glaner quelques informations. Mais je sais que j’ai affaire à un rat, Louis va démontrer se que j’attendais d’un petit chef : dénoncer ces camarades à la sécurité. Et donc un justificatif pour me virer de l’école qui tombe à pic ? Il va recevoir mon email, m’envoyer balader, tu penses l’information c’est le pouvoir, c’est devenu un monsieur de travailler chez Astrium, et m’annoncera prévenir la sécurité de l’entreprise. Allons bon, je vais m’inviter dans le renseignement et faire parler de moi. L’hameçon est lancé, sur mon profil viadeo, peu de temps après, le chef de l’ingénierie des torpilles à St-Tropez de Naval Group viens sur mon profil, et je lance une discussion. Cela va partir en sucette qu’en Richard va m’annoncer que je suis en cours d’habilitation secret defense, c’est ça oui, je préfère un papier officiel que la bouche de quelques étudiants hargneux. Même si cela était vrai je subirais de plus en plus de pression, et je vais faire remonter cela à l’administration de l’école le comportement des élèves, ce qui va jouer sur mes notes car je vais perdre ma concentration à cause de la psychose qui prend du terrain, je vais être un peu abandonner dans la promotion car j’ose baltringuer à l’administration de l’harcèlement en sachant que mon mail de phishing est une bombe à retardement pour aggraver ma situation, mais j’ai eu ce que je voulais, tester la loyauté et ne pas m’attarder ces gens qui s’approprient et prédatent les ressources disponibles sans aucun gage en retour. Étonnamment l’administration de l’école ne va pas mentionner mon mail de phishing, une affaire de cyber-espionnage est mal venu car l’école cherche à avoir des contrats avec les entreprises et placer ces futurs étudiants, se sera étouffer, la loi du silence, nos élèves sont exemplaire et il n’y a aucun règlement de compte entre eux, tout dans le meilleur des mondes de quelques bisounours particulièrement socialiste à Mines Nancy, au même moment que je reviens de Chine, François Hollande va faire un meeting dans l’école, il y a une allure politique, c’est pas le moment d’avoir une affaire parmi les élèves. Je ne serai pas véritablement pris en charge pour la psychose, je vais voir un psychiatre mais rien d’anormale ne sera détecté. Aucun suivi, mais je vais passer quand même pour un fou parmi les camarades de classe qui ne croit pas à de l’harcelement quand pour certain le clame ouvertement « on pensais que tu tiendrais que 2 semaines en revenant de Chine » Les pressions par des sous-entendus sont réel, c’est déguisé, ici c’est la loi du plus fort et du plus compétitif. On veut des machines à apprendre qui applique des méthodes et processus, et cela tue la créativité. De la manière que je vais être traité, mon départ de l’école après un conseil de discipline, ou l’on m’interdit de redoubler la filière est à mes yeux une véritable honte. Le directeur souligne le problème créer autour de Louis particulièrement, si le mail de phishing à tourné, la méfiance envers les techniques de cybersécurité et particulièrement d’ingénierie sociale fait de moi un homme dangereux. Louis n’hésitera pas à me traiter dans la classe de terroriste. Un détail sûrement pour l’administration. Mais qui démontre le braquage, le terrorisme, c’est pour les pauvres, l’arme de la terreur depuis que l’on décapite des rois. Avant de partir de l’école je vais participer à l’école militaire -IHEDN un séminaire sur la défense. Je vais devenir très critique sur l’école qui forme une milice aux ordres de logiciels tels que CATIA de Dassault Systèmes, le système de licence logiciel freine l’innovation car ne permet pas aux entrepreneurs et hobbyistes d’investir dans ces solutions, voir les petites PME. Quand on démarre une start-up et que l’on a besoin de prototyper un produit on ne s’appuis pas sur des produits propriétaires mais cherchant à réduire les coûts par de l’open source. Seulement les gros industriels vont utiliser les solutions de l’école, les ingénieurs formés n’ont aucunement leur place dans des environnements agile tels que des start-up. C’est le gros reproche que l’on peut faire à la formation, il y a de moins en moins d’innovation dans l’ingénierie mécanique car le marché visé est l’industrie, et que au niveau du prototypage rapide de produit, la politique de l’école est de vendre sa solution tout en ce mettant des oeillères. A l’époque ou j’étais scolarisé en 2010, c’est le début de la charte des fablabs du MIT et l’apparition dans le prototypage rapide des solutions d’imprimante 3D qui était ignoré par le directeur de l’école : un simple jouet, pas assez professionnel(sic). Egalement il est complètement inconcevable que des ingénieurs formé dans la R&D n’est aucun cours en cybersécurité, étrangement le directeur de l’école Barlier dit « Babar » pour les intimes à un exploit de la DGSE à son effigie, on peut trouver la coincidence cocasse. La plupart sont des amateurs et n’ont aucune approche de l’ingénierie sociale, quand on voit le comportement de Louis qui saute sur la première fille que l’on met sur le bout de son nez, c’est typique du gars qui ne connaît rien au principe de l’espionnage et la corruption par le sexe, il fait parti de ces idiots utiles qui pensent avec sa bite comme dirait l’autre et les femmes sont un simple garage quand elles peuvent être des sources d’informations. Au delà du cas d’harcèlement car on m’a poussé à quitter l’école pour protéger des élèves et donc des relations avec des industriels, c’est bien la morale de la gauche socialiste qui s’embourgeoise en oubliant que les plus pauvres sont la plupart du temps des cibles de vol et jalousie et que ceci on peu de moyen de défense.

La privation des libertés

Cela va prendre une tournure plus tragique à travers la psychose quand je vais avoir des crises psychotiques plus sévère et me défendre d’agression restant dans ma mémoire. Et je vais finir par terroriser Louis mais également de la famille qui ont aucune approche de la psychose, finir en prison durant 10 mois ou celui-ci va sortir l’affaire de phishing aux flics dans le procès-verbal. Au lieu de chercher à protéger un camarade de classe malade, il va l’enfoncer. Ce qui n’est pas glorieux. Je vais être déclaré irresponsable pénalement et faire 3 mois d’UMD, puis un an en hôpital psychiatrique. Véritable paria ? Il y a t-il un avenir pour les malades mentaux ?

J’aimerai créer un procès et mettre l’école devant ces responsabilités qui n’a pas protégé un élève face à de l’harcèlement moral d’une minorité conduisant à l’apparition de l’handicap psychique. Certain peuvent trouver cela marrant de rendre fou un camarade de classe, mais le jour que cela arrive, l’école est dans de beaux draps si l’affaire et le témoignage refait surface, cela peut aller très loin, dans des cas de psychose la personne peut devenir dangereuse en ce faisant du mal ou à autrui. Tant que le fou ne prend pas conscience que cela n’est pas de sa faute mais c’est bien la pression societale qui le pousse à agir jusqu’à un non-retour. Le système des grandes écoles n’a jamais été inclusive, à l’apparition d’un handicap on est mis sur la touche, car nous sommes plus performant. On ne peut pas ce permettre durant une formation de ce mettre en retrait pour burn-out, dépression ou handicap psychique. Il n’y a pas de tolérance face à la faiblesse, c’est une histoire de rendement avec aucune tolérance aux fautes qui fait que le système est hypercontraint et donc peu évolutif. L’école aujourd’hui est basé sur le fordisme depuis sa création et son intégration pour répondre à la demande. On produit à la chaine des individus qui n’ont pas beaucoup d’humanité, et en école d’ingénieur de très mauvais ingénieur d’affaire dans le sens qu’il n’adopte pas de stratégie win win des le départ tel que Louis créant des tensions et conflits. On a rien pour rien, si tu donnes pas en retour, tu es coupable de ta négligence. A la source il y a des comportements qui rabaisse de l’excellence, si vous ne voulez pas que des affaires apparaissent pour tenir la réputation des écoles alors apprenez le respect, la communication aux ingénieurs au lieu d’être des robots qui applique des méthodes et processus pour la performance, la compétition et le profit baissant l’humanité de la profession.

Je suis quelqu’un de très résilient, ce n’est pas la prison, ni l’UMD ou la banqueroute bancaire qui me perturbe, je garde des objectifs de vie malgré les difficultés en particulier d’effondrements psychique. Grâce à ma créativité, j’innove constamment, je me ré-invente à chaque instant. Je fais parti de la communauté des hackers autour du logiciel libre en France et je suis actif pour trouver des solutions à l’école républicaine pour la formation continue grâce à internet dans l’informatique et l’ingénierie. Sortir du cadre universitaire et des grandes écoles est surement une évolution nécessaire pour plus d’inclusion. L’élitisme laisse sur le carreau de très bon ingénieur juste car ils ne sont pas scolaire mais plus pratique ou alors créatif. L’école pour certain est la seule source de formation, comme autorité. La culture de l’innovation, l’agilité fait parti de mes recherches ou j’apprends de la conception logicielle qui j’aimerai appliquer à la mécanique et l’ingénierie système.

L’Entrepreneuriat

En me faisant virer de l’école L’Insic, Mines Nancy je vais prévenir avant que je compte lancer mon entreprise. Je vais travailler à créer une entreprise de consulting : Alpharatz, une ESN ou je fais de l’intelligence économique et de la formation à la protection de l’information pour les dirigeants à partir de Linux. Je ne vais pas trouver de client, mais je vais apprendre de l’échec, je serai invité à une conférence à l’ambassade U.S sur les APT de FireEye. Renforçant mes connaissances en cybersécurité. J’étais le seul consultant indépendant, dans la salle il n’y avait que des responsables de DSI de grands groupes. Dans mes domaines d’intervention je vais établir des rapports sur les filières minières en Bretagne comme travail d’intelligence économique et la percer possible du minage spatiale avec les premiers signaux faibles. Cela ravive mes pensées de faire de la propulsion nucléaire sur des drones de minage et créer une industrie de fret. J’avais dans l’envie de déposer un brevet d’invention, après études de quelques propulseurs, je m’étais renseigné avec un avocat en propriété intellectuelle en allant à Paris chez Fidal Innovation. Dire que je suis sur le marché et que je compte bien bloquer les hardeurs de certain. Celui-ci m’a conseillé de garder l’idée de brevet et d’être bloqué par la commission de defense nationale au risque d’être considérer comme de la technologie d’armement, pour des missiles.

Et bien alors qu’attends les industriels de l’armement pour m’embaucher ? Peut-être que ma proximité avec ma dernière compagne chinoise pose problème, l’inclusivité de l’handicap chez MBDA serait elle qu’une façade : La créativité c’est le risque de l’incertitude et de l’instabilité, comment gérer ces profils atypiques.

Les renseignements m’ont fiché S, voir peut-être sur CRISTINA. Je suis connu, et surveillé car de ma psychose, il y a une part de mon audace nécessaire à toute entreprise. Et je n’ai pas fini, je fais que commencer ma carrière d’entrepreneur, mais un peu d’aide pour sécuriser l’emploi pour avoir un fond propre pour ré-investir dans des projets d’entreprise nous ferait moins perdre de temps, cela fait sale que mon CV tourne sur Brest dans les grands groupes tels que CAP GEMINI, NAVAL GROUP et THALES : Il y a un ancien de Mines Nancy sans emploi, cela ne laisse pas indifférent. Je me demande toujours comment la famille Bolloré dont je suis un local n’a pas encore entendu parler de mes projets industriels, il pourrait faire du transfert de connaissance du monde des affaires et soutenir des entrepreneurs locaux. De mon temps libre actuel, je travail sur 4 projets :

  • Lancer un Hedge Fund sur une DAO Aragon
  • Créer une université d’apprentissage du hacking pour les milieu défavorisés
  • Continuer mon projet de Consulting IT et reboot Alpharatz
  • Me mettre au trading pour générer un revenu et travailler l’intelligence financière.

Avoir une réputation de hacker black hat dans le cyber-espionnage fait partie de ma stratégie, par mes compétences en ingénierie sociale et ma réputation, je suis craint ce qui renforce ma place dans la guerre économique. En étant surveillé cela me permet de faire passer des messages plus facilement avec les renseignements, tel que de prévenir que j’ai bien l’intention de devenir propriétaire terrien sur les Mines d’uranium en Bretagne. Je vais y mettre les moyens pour investir et verrouiller toute la prospection minière. Car j’ai déjà des terrains familiaux. Je suis virtuellement très riche. Certain me prenait pour un golden boy dans ma promotion qui roulait en twingo II (sic). Je suis peut-être le futur duc de l’uranium en France. En tout cas je compte bien y mettre le cirque.

Le déclassement de la France dans le domaine du nucléaire, de l’extraction minière est une opportunité pour renouveler la classe dirigeante pour y installer une culture du numérique par des hackers dans les modèles de gouvernance.

Par contre j’ai moyennement apprécié l’enfermement en UMD avec les menaces que si cela continuait de m’envoyer à Cadillac. Ose ! Tu verras donc mon réseau de régionaliste breton si je blague. Variscan a tenté de faire de la prospection minière avec l’accord du gouvernement socialiste, que je sois loin des affaires donne des idées: la Bretagne aux bretons.