Le cas de la nécromancie de retour de version "mainstream" dans le jeu Diablo IV est un retour de baton sanglant contre la plupart des religions abrahamiques en particulier le christianisme. ils ont monopoliser le pouvoir. Jésus de Nazareth à l'image d'un phare et guide de la lumière divine. C'est d'ailleurs le symbole de la crucifixion (un repère comme guide, la croix). En réalité il réprime sa part d'ombre. Nécessaire à tout rite nécromantique et donc d'invocation de la mort. On peut appeler cela une rupture de symétrie quand on invoque trop la lumière, réprime l'ombre. Et alors on brule quand on s'en approche trop. Dans l'islam Muhammad à invoqué l'obscurité et les ténèbres dans la grotte de Hira ou il allait médité.
L'occident chrétien aujourd'hui est un système comme projection des conflits du chritianisme et en particulier le dialogue avec l'ombre, celle de Jesus de Nazareth. Et c'est le foutoir.
Le conflit lumière / ténèbre et donc l'ombre est la base des tensions psychiques intrinsèque à tout individu. Certain courant religieux valorise les deux, tel que le Tao des chinois et savent que l'équilibre est important.
Dans une société qui valorise les idoles(la lumière) tels que les occidentaux judéo-chretiens, ceux-ci vont réprimés les ombres dont les maitres en la matière sont les nécromanciens. L'ombre est noir, ténèbreuse, obscure et spectrale. C'est voilé. MAIS dans l'univers: c'est la base.
Statistique: la connaissance de la totalité de l'univers c'est:
- 73% energie noire
- 23% de matière noire
- 4% de matière baryonique (dont etoiles, planètes 0,4% et gaz: 3,6%)
La composition chimique de l'univers c'est 92% hydrogène. Donc de l'eau.... H2O. Imaginer 96% de l'univers est inconnu et invisible, c'est pas de la matière ordinaire. Alors dialoguer avec l'invisible est-il si stupide?
Il y a des mouvements qui valorises les ombres: tels que les femmes islamiques et le Niqab noir. On les réprimes énormement en occident. Il y a quelques mouvements gothiques tels la contre culture "black metal" dont j'ai fait parti un peu dans ma jeunesse.