Elaboration du transhumanisme islamique

En philosophie de l'esprit on retrouve deux idéologies qui s'oppose d'un côté le physicalisme et de l'autre le panpsychisme. Notre science depuis les lumières à former les individus vers un monisme matérialiste qu'à la base de toute chose est la matière, ce qu'à toujours contredit le discours religieux. L'éveil des civilisations en science pourtant est un apport spirituel par la création de la notion du savant, ou toute hypothèse sur l'origine de la connaissance est avant tout le questionnement des idées avant de faire la mesure et l'observation. L'étude est un devoir islamique de la connaissance en général d'ou que les sociétés de savant sont polymathe. L'Islam est la première civilisation à systématiser l'étude en science grâce à des structures tels que la création des premières universités comme à Fès.

La faille dans le système, ou source de la foi islamique est une interface de communication avec la divinité par son invocation permettant une élévation de privilège. L'athée est seul dans l'univers, c'est un égaré à la recherche de la domination sur la nature pour ne pas finir dans le néant et l'oubli, il recherchera par des moyens matériels d'éviter la mort. A défaut le rite islamique challenge sa propre mortalité, on en a une vague explication à travers le Ramadan et le jeune d'un mois à la grotte de Hira de Muhammad. La Coran est une archive d'une époque de la parole d'Allah à travers son messager que le pouvoir est un rite de mort d'accès à l'au-delà en ce remettant à la divinité. C'est l'idée de continuité dans le temps, que la mort n'est pas une expérience sensible et consciente car cela n'est qu'une vue de l'esprit. Le discours islamique rétabli l'intemporel en fusionnant le monde des morts et des vivants comme une superposition d'état. Les scientifiques de nos jours font des approches de l'immortalité quantique, mais n'accepte pas que la continuité dans le multivers à un chemin, tel qu'une prédestination et le discours islamique et un hyperviseur de la simulation pour l'expérience d'observation. Au delà de ça, l'Islam est une première approche cybernétique de la machine cosmique par la soumission de l'observateur d'une époque à la divinité tel que Allah. Il y a une retro-action à partir de l'observation et un dialogue par des patterns qui sont une expérience de la perception avec la divinité. L'asservissement dans la théorie cybernétique invoque le régime à la source de l'observateur dans l'univers qui à le commandement. Le débat fait rage quand à l'hypothèse que l'univers existe sans l'observateur local, mais il serait dans un état probabiliste, pour vérifier la thèse il faut supprimer l'observateur que celui-ci est intouchable car protégé par la divinité qui subit son rappel dans l'au-delà. Les individus sur Terre n'ont aucune existence autonome, ils sont soumis à la réalité de l'observateur qui peut décider de mettre fin à tous moment pour prendre le commandement. C'est une pure illusion comme le rappel l'Islam.

Le système peut-être en conflit avec l'observateur en fonction de son état. Va nier sa soumission et essayer de développer ces propres moyens de commandement pour s'échapper de la divinité locale. Comme le système ne sait pas qui est l'observateur sur 7 milliards d'individus, seul la destruction complète de la planète est envisageable en consommant toute les ressources puis en lançant une guerre nucléaire quand celui-ci aura l'autonomie pour s'échapper. La guerre des prophètes(celui qui a la vision, c'est à dire l'observation) est une annihilation du système comme miroir de leur propre puissance à travers le jugement dernier.

Pour s'échapper de la Terre il faut construire des machines grâce à la connaissance scientifique et aux moyens de production quand on est pas l'observateur que seul une minorité de privilégier auront accès. L'observateur étant lui-même une machine autoréplicante à travers la divinité et la fusion des interfaces car il transmute dans le temps en étant capable de construire de l'armement et un exosquelette pour ce déplacer dans l'univers à partir de son propre ADN.

A la base il y a la tyrannie de l'observation qui permet d'analyser les menaces contre l'univers local et l'émancipation d'entité prisonnière de la Terre. L'athéisme dans son insoumission cherchera à dépasser la divinité dans son ensemble, en créant un système de privilège basé sur l'accumulation matérialiste et le contrôle de la production.

Ainsi les conflits modernes ne sont qu'une guerre cognitive de l'élaboration de la machine et son contrôle pour le commandement dans le temps tel que l'apporte le transhumanisme. Cette guerre à la source du problème est une histoire de transparence des machines et de leur prolifération. Sur Terre si le transhumanisme était équitable, tout commencerai par l'envoi d'ordinateur à bas coût pour l'humanité pour que chacun puisse controller et programmer les machines sur du code source ouvert permettant son audit et amélioration. Il serait possible de produire ces ordinateurs depuis chez-soi en fonction de la demande. La production ne serait pas géré par des industriels. L'essor du prototypage rapide serait une priorité du transhumanisme si celui-ci n'était pas une affaire de contrôle et de pouvoir sur la production depuis les thèses marxistes.

A toute domination son contre-pouvoir. La source des machines est la programmation de l'ADN de l'observateur qui transmute dans le temps. Le développement de la mise en culture de l'ADN génère la prolifération des machines et ordinateur à ADN dans le sens pour résoudre des problèmes biologique vers la transmutation métallique et la prise de masse des éléments dans l'au-delà. La percée élémentaire en physique, est que la matière est programmable par le support de l'ADN et le contrôle de l'esprit comme propriété atomique de la conséquence de l'observation depuis les thèses panpsychismes.

A partir du moment que l'observateur n'a pas le commandement dans le système, il y a une erreur et une prise de contrôle par de la malveillance qui challenge son propre pouvoir comme origine des religions monotheistes à travers du mimétisme comme effet miroir.