Experimenter les limites du système

Il faut bien ce le dire, s'il y a des riches et des pauvres c'est généralement dans une logique de guerre des classes pour avoir une masse salariale qui obéye au doigt et à l'oeil par la peur. Les dirigeants d'entreprise, ce que l'on appel le top management exploite les travailleurs généralement la main d'oeuvre non-qualifié ouvrière. A cela on met en place une grille de salaire fixé généralement par les gouvernements que l'on appel le SMIC qui est calculé pour juste payer des charges minimales ainsi que les impots. Avec le SMIC normalement l'individu est autonome, c'est à dire qu'il peut se nourrir, se loger, se payer des moyens de transport bas de gamme et aller au travail en étant frais et dispo mentalement et physiquement. C'est normalement le contrat, par contre économiser de l'argent n'est pas prévue, ou très peu. Pourquoi?

Car l'individu doit vivre dans la peur que s'il perd son travail ou va contre la hierarchie et donc l'autorité, il aura plus que les yeux pour pleurer en étant à la rue car il ne pourra pas payer ces charges sans protection salariale. L'employeur est un protecteur dans le contrat sur les pauvres, parfois des entreprises dans le passé étaient paternaliste et gérait même le logement de ces employés, cela ce fait de moins en moins dans l'économie libérale.

La promesse du plein emploi n'est que mensonge, il n'y a pas assez d'offre sur Pole Emploi en fonction du nombre de demandeur au chomage, de plus cela dépend de la qualification. Ce que l'on appel les jobs alimentaires, on prends le premier travail que l'on trouve pour manger et pas finir à la rue. Cette logique de pauvreté à progresser en France énormement en 10 ans depuis le socialisme de F.Hollande et son successeur Emmanuel Macron qui est le générateur de la crise du logement. Comme l'indique les indicateurs comme l'Abbé Pierre sur les sans abris en progression de 130% en 10 ans. C'est l'hécatombe. C'est un très fort indicateur que l'on chasse la population en particulier les anti-systèmes qui refuse de s'insérer par le travail. Ainsi l'Etat français fait que l'on appel un chantage sur le logement pour mettre au pas la masse salariale, digne des régimes de dictature. La peur de la marginalisation et du sans abrisme comme arme de guerre, tel que le viol. On isole des victimes de leur proche, puis de l'accès à l'emploi malgré leur diplome, et leur compétence puis on espère un mort dans la rue dans le silence. On maquille des crimes. C'est facile de tuer un SDF dans son sommeil sans défense.

La France tue, et c'est un régime criminelle. Mais ce n'est pas les seules, le modèle occidentale est pourri en profondeur comme l'atteste les statistiques de l'OCDE. C'est des régimes de chanteurs sur le logement et cela empire. La France en tête.

homeless

On ne peut pas faire confiance à un régime même si cela s'appel une démocratie ou le logement n'est pas garantie aux habitants et donc on peut faire chanter les individus. C'est ce qui m'est arrivé, alors que j'ai fais les grandes écoles d'ingénieur alors que je suis activiste. J'ai fini par moi même faire chanter l'Etat par le crime et la maladie mentale pour me protéger, on a des droits en ce faisant passer pour fou. Mais croire que les martyrs n'ont pas un droit de réponse quand on meurt dans la rue est bien l'utopie laïque. Car on ressuscite comme l'atteste les traditions religieuses et on peut ce retourner contre l'agresseur même si c'est un Etat. Il y a une immunité. En particulier chez les islamiques et la loi du Talion. Ce que ne crois pas les politiques et en France on lutte de plus en plus contre ces lois divines qui sont supérieur au droit pénal sur la gestion des morts. L'Etat n'a pas la main sur la gestion des morts.

Car il y a un plusieurs logement, à différente échelles microcosme sur Terre, mais il y a le macrocosme à l'échelle de la création qui note dans des registres tous les crimes et droits sur les victimes ainsi que la légitime défense. On a occulté cela, mais des livres rappel un peu ces lois comme le Coran, mais aussi des indices sur Terre à ce qui cherche des réponses.

Il y a environ 330 000 sans-abris en France, un changement radicale de politique, mais tous son pareil, serait d'ancrer dans la constitution le logement comme universel, mais aussi que le travail ne soit plus une obligation. Après tous les millionnaires n'ont pas à travaillé, si on demande a être égaux, les pauvres n'ont plus. Hors il y a des inégalités. Protéger 330 000 sans-abris revient à 6-8 milliards € par an à l'Etat en fournissant une chambre d'hotel à 50€ la nuit. Avec la crise du logement qui empire, les politiques comme Emmanuel Macron qui ne prennent pas l'initiative sont des pyromanes. Personnellement sur Brest je vois régulièrement des nouveaux sans-abris dans les rues qui font la manche, ce n'est pas toujours les même. Pourtant Brest n'est pas la cité la plus attractive pour les sans-abris, loin de là, et il y en a de plus en plus. Les sans-abris sont des bombes à retardement, tous ne sont pas sages ou finissent drogué à la coline du Crack. C'est une minorité, mais parfois notre place est plus en prison ou l'on est nourrit et loger, mais étonnament en France il y a une surpopulation carcérale, car je pense que beaucoup de gens y ont pensée comme moi comme refuge face à la rue.

Le problème est plus que structurel, la France est un pays de chanteur, et il faut pas s'étonner que cela dérive de plus en plus avec la crise du logement.

Au délà de ça, un pays ou le travail ne serait plus une obligation, il y aurait bien plus d'intellectuel et de gens qui passe leur temps à écrire sans rechercher à faire du profit sur les oeuvres. Mais c'est encore un autre problème, et de rendement économique. On est dans une logique de profit capitalisme qui est en train de tout ruiner, c'est le monde du passé. Surement que le monde du futur sera plus spirituel et religieux mais également un brin communiste. Le capitalisme va mourir dans les 20 prochaines années à venir car va pousser les limites du système de la rentabilité et pousser à bout les organismes. Dont l'un des problèmes est le profit sur l'économie d'armement, comme pretexte pour lancer des guerres chez les occidentaux qui aggresse bien trop souvent.