Inclusion et secret défense

Voila une tournure intéressante que prend ma drôle de vie atypique. Après une prise de bec et de l'harcèlement scolaire ou j'ai été mis au ban pour des accusations d'ingénierie sociale suite à des troubles psychotiques en grande école d'ingénieur pour me faire traiter de terroriste par mes camarades de classe. Mais egalement un peu de jalousie quand ceux-ci m'annonçait pour rire? Que j'étais en cours d'habilitation secret defense. Voila que je me fais rattraper par les évènements ou cette fois-ci je risque d'avoir véritablement besoin d'une habilitation secret defense pour mon emploi. Ainsi je me pose des questions sur l'accès à de l'information classifiée dans le cadre de mon emploi, c'est à dire administrateur système sur des données bancaires et l'inclusion  de l'handicap.

J'ai véritablement eu une mauvaise expérience des débuts de la psychose en école d'ingénieur ou tout simplement ma différence à fini par déranger n'aggravant que la crise. Je peste sur le culte de la performance chez nos élites dans l'optique de gagner plus de profit sur le dos de la santé mentale des salariés et élèves d'école d'ingénieur formaté à être productif alors que l'on devrait éduquer à résoudre des problèmes pour améliorer ce monde quitte à perdre parfois de l'argent. Dans le milieu de l'ingénierie ou l'empathie n'est pas de rigueur, on abat des rivaux sans ce soucier des risques psychiques ou de représailles, c'est mon expérience du milieu ultra-compétitif et de ces dérives en utilisant l'arme du pauvre par la terreur. Il y n'a pas de place pour la faiblesse, ou tu finis vite dans une case de taré si tu dévies un peu trop. Je me suis frotté à l'institution, j'ai connu l'UMD malgré mon parcours brillant d'élève ingénieur, mes stages dans l'armement naval et en Chine. Sans oublier mon passage à l'IHEDN. Car certes à un moment on ne savait plus quoi faire de moi quand j'étais pris dans la psychose, ma famille était dépassé, et à même portée plainte contre moi face à mes attaques de mon esprit délirant.

Pourtant je prends le risque de parler de la maladie, en occurrence la schizophrénie et ces répercutions sur ma vie. Je n'aurai pas été fiché S pour radicalisation suite à ma crise psychotique. Ferai-je mieux de me taire ou faire de la science ouverte pour la recherche médicale pour faire avancer la psychiatrie que de témoigner sur l'environnement propice à déclenché les psychoses et le besoin d'avoir une situation stable pour ce rétablir et faire preuve d'esprit critique. La psychiatrie ne fait pas de miracle, l'hopital nous met dans une zone d'attente sous camisole chimique. Je rongeais mon frein à prendre un ordinateur pour faire de l'ingénierie et de l'informatique durant mon internement. C'était ma bouée de sauvetage pour ne pas perdre totalement l'esprit. Le temps calme les crises et ont devient des ombres. On ne sait pas si on reviendra à la vie des normopathes car notre vie est marqué par la psychose et son intensité, c'est un électrochoc dans l'esprit. On parle de perte d'autonomie avec le psychiatre et c'est un drame dans le sens que l'on n'a pas été capable de ce prendre en main et appeler à l'aide. J'ai sombré seul avec la psychose comme camarade jusqu'à la déraison. Je la connais mieux, cela m'inspire pour écrire des histoires mais je n'accepte pas malgré mes difficultés d'avoir un droit à un salaire descent et des responsabilités malgré l'handicap psychique. La maladie mentale ne doit pas être un point de non-retour vers la précarité et l'exploitation tel que dans certain ESAT. C'est aussi à nous de faire ce choix dans une optique inclusif pour s'insérer dans la société.

Ainsi j'ai trouvé un emploi dans mon domaine de compétence mais le métier fait que l'on a accès à des informations confidentiels que les procédures d'habilitations secret defense juge du potentiel de fuite d'information et de la stabilité psychique. Je pense que mon psychiatre aurait son mot à dire sur ma relative stabilité après le sommet de la crise en 2017 qui ma poussé à demander l'asile en Suisse et faire un délit pour finir en prison. On peut parler également de mon autonomie financière avec l'AAH et mon sang-froid d'avoir traverser cette expérience de vie sans broncher du haut de l'élite de la conception mécanique en ingénierie de France. Je suis sous traitement anti-psychotique depuis 4 ans par sécurité que l'envie me prenne de faire des voyages pathologiques ou je me comporte comme ces fous voyageurs et vagabonds en période de crise, la rue est la véritable liberté comme Diogène. Je me détache complètement du confort et de la sécurité d'un habitat pour fuir.

Ce point sur la radicalisation islamique, ou cette farce dans mon idée à l'époque de faire peur que d'accentuer les préjugés par le fanatisme religieux couplé à la crise psychotique. Je suis bien converti à l'islam mais je suis un islam libéral chiite à travers les nizarites et l'Aga Khan connu pour être la plus grosse fondation dans le développement humain. Je suis un ingénieur mais je considère l'hypothèse divine à travers la révélation islamique et le Coran qui clos le sceau des prophètes. Je suis donc plutôt loin du rigorisme sunnite des salafistes tels que l'on nous vend en France et le repli sur les traditions pour s'échapper du système. L'islam est complexe, les premières victimes du terrorisme sont les musulmans eux même et non l'occident comme on entend dire. On dit que l'islam cela fait 1000 ans qu'elle s'est déconnecté avec la philosophie et source majeur de la discorde au sein de la théologie. Je suis un intellectuel et tout domaine de la connaissance m'intéresse cela inclus l'imaginaire et la naissance des religions. Je questionne le fait religieux et une forme d'erreur statistique voir des anomalies physiques dont nous pourrions être témoins. Même une hallucination collective à une source dans l'imaginaire et on peut remonter à la source de la production psychique.

Etant également un business man, je reste ouvert avec des partenariats commerciaux avec certain pays dont la Chine dans mes futurs projets d'entreprise. J'ai suivi un cours de Mandarin à l'institut Confucius de Brest et pour rappel ma dernière compagne était chinoise ouighour. J'ai donc de l'attachement et de l'amitié pour le bon souvenir de l'accueil et traitement des chinois. Mais cela date de 2011, depuis je n'ai pas eu de relation à part les cours de langage. Je suis plutôt sinophile, je m'intéresse à la littérature chinoise et la philosophie. Mais je ne suis pas marxiste, je suis un libéral qui suit Adam Smith plutôt que Karl Marx même si je suis assez conscient du poids du prolétariat et de la lutte des classes dans ces concepts. En tant qu'entrepreneur je crois que l'on peut changer de classe sociale par sa force d'action. Je reste diplomate et je dirais que dans les écoles militaires comme à l'IHEDN on gagnerait à lire des auteurs chinois tels que Liu Cixin car ils ont à nous apporter une vision du futur qui sera commun quoi qu'il arrive. On ne peut pas faire sans la Chine dans la mondialisation, on ne peut pas isoler les chinois et les laisser loin des décisions même si il y a une caste française au bord de la crise de nerf sur la proximité du personnel de défense et les agents du renseignement chinois. Il y a aura de plus en plus d'incident dans une économie qui n'est pas basé sur le partage et les communs pour protéger du personnel à travers les privilèges, les biens et les services. Plus c'est cloisonné en silo plus vous attirez l'inertie administrative. J'en parle dans un article de Blog que le secret defense va détruire l'innovation des industriels de défense. Je préfère être ouvert au débat pour être un ancien de l'IHEDN et pointer du doigt ces changements que la legislation devient un frein à recruter des talents pour satisfaire un hygienisme nationale de plus en plus contraignant. L'innovation et la science ouverte forcé par le capitalisme à l'ère de la big data va redessiner le paysage industriel tout en rendant obsolète le secret tel que l'on connait. Cela me rappel cette histoire avec le FBI qui a du mal à recruter des hackers car ils fument tous des joints et du shit. Il faut savoir faire des compromis. On n'a pas de talent sous GNU/Linux sans débat sur la liberté de circulation de l'information. Quoi que plutôt paradoxale pour des administrateurs systèmes censé protéger l'infrastructure du système d'information. S'il n'y avait pas de hackers, alors il n'y aurait pas de faille à exploiter. Le monde serait terriblement ennuyeux s'il n'était pas basé sur l'erreur. Ceux qui embrasse cela navigue sur la vague, font et défont les règles du secret et du profit.