J'ai un souvenir fugace, qui me rappel quelques principes de séduction. Une blonde aux courbes agréables et au code vestimentaire sensible du nom de Darah quand j'étais au lycée Colbert à Lorient. J'avais 17 ans. J'avais réussi à glaner quelques informations sur elle, réputé inaccessible et rigide, elle était dans les filières scientifiques.
Ma foi challenge accepted, j'en ferai bien mon trophée après tout. Ce que je savais pas encore, étant ignorant en séduction à l'époque, j'allais appliquer des méthodes qui allait marquer son esprit et me différencier, là ou en réalité les hommes se battent comme des chiens pour sauter la plus jolie fille. La plupart des jolies filles sont abordés tout le temps et on un nombre important de prétendant. Les femmes intellectuelles peuvent même sentir cela comme une malédiction que la beauté physique car n'être qu'un simple bout de viande pour vider les couilles d'autrui. Le séducteur à la base est hors compétition et dépasse la mise en concurrence.
Alors on va me dire comment fait-on, nous avons été éduqué par la compétition dès l'enfance ou l'on note les gens, ou l'on cherche à ce mettre en valeur pour espérer s'insérer dans la société. La famille n'est pas seulement la rencontre d'individu au hasard mais la reproduction de code pour ce projeter dans l'avenir.
Il faut donc séduire l'esprit, le storytelling ou l'art de raconter des histoires ou l'on touche les sens doit faire en sorte que la fille se projette avec vous que cela soit pour un soir ou l'éternité, il est essentiel qu'elle pense avoir trouver un trésor inestimable. Adepte des techniques de vente et de marketing, la persuasion en séduction est nécessaire. un trésor s'obtient en décodant un message secret avec un jeu de piste, cette fille fera une enquête sur vous, cela sera obsessionnel, vous êtes un mystère: un phénomène anormal. Tous le monde rêve d'être des phénomènes dixit le groupe de rock "Freedom for King Kong" de Lorient. Le jeu est de codé l'environnement, que cela soit voulu ou par votre inconscient en tache de fond piegeant la fille qui aura une révélation. C'est une affaire de signal en théorie de communication, et cela fonctionne en réseau avec des interfaces jouant de filtre.
Ainsi j'allais passer le premier filtre des filles, car aux dernières nouvelles c'est aux hommes d'aborder, car les filles vous tests en particulier votre courage et avec Darah j'avais eu son numéro, qui plus tard donnera sur une date dans un bar qui va la marquer moi le petit gars de la campagne, je vais apprendre qu'elle est casanière et passe son temps à étudier, quel ce projette à faire sciencePo et à les meilleurs notes de sa classe. A l'époque je n'avais pas cette ambition, contraint par le manque de moyen de ma famille. Mais je me rappellerais que mon ami cycliste dans le lycée (on ce connaissait tous entre nous, le gang des cyclistes) que cette fille était inaccessible et fut étonné que j'avais daté.
Plus tard en BTS je reçu une réplique sismique de notre rencontre, ou un groupe de collègue faisait une fixation sur une fille et faisait tout pour la posséder, c'était une amie de Darah, elle s’appelait Berengère et n'avait de yeux que pour moi à table créant de la jalousie des autres collègues.
Que les choses deviennent intemporel, qu'une simple action deviens une causalité universelle, en hopital psychiatrique, je fis la connaissance d'une autre Bérengère infirmière avec certaines de ces caractéristiques ou jus le privilège d'aller avec elle en sortie (alors que j'étais sous contrainte) pour faire les courses pour fêter la finale de la coupe du Monde au supermarché à la rue Paul Masson de Brest. Elle pouvait choisir bien des hommes dans l'unité psychiatrique.
J'appris un peu plus en séduction et le prizing: être le prix.