La faillite de l'élitisme chez Dassault

Il y a un constat inévitable en France, c'est la perte de confiance dans les élites. Car en vérité il n'y a que très peu de renouvellement des élites. Cela fait des millénaires que c'est les mêmes familles d'aristocrate, en particulier ce que l'on appel la "haute bourgeoisie" au pouvoir. Conflit inévitable avec le prolétariat des théories marxistes. En France les milliardaires sont des héritiers, rarement des entrepreneurs. Le bourgeois investit son capital pour maximiser son profit qui a exploser grâce aux usines. Il devient de plus en plus gras et donc la cible de malveillance, et ce déconnecte de la société civile.

L'entre-soi des élites est devenu une épidémie chez Dassault, héritage familial saccagé, il est loin le temps qu'un petit inventeur de sup'Aero d'une hélice éclair voulait monter un empire industriel.

En réalité l'élitisme francophone est devenu détestable, chez Dassault les dirigeants fréquente que la haut sphère du pouvoir et sa bourgeoisie, son offre de service n'est que pour les richissimes. Jet privée pour les affaires, Rafale pour les états en passant à l'ingénierie logicielle comme CATIA sous licence pour les entreprises qui peuvent ce le permettre à des prix faramineux. Le fric, rien que le fric. On ne peut pas qu'applaudir le choix de gérer toute la chaine de valeur de la R&D à la production par les choix que l'entreprise à décider de prendre mais les français haïssent ce qui ne partage pas le capital.

La leçon du communisme est de souhaiter le partage de l'outil de production car l'ouvrier tiens en otage les lignes de production dans l'usine, c'est à dire de donner des opportunités à s'enrichir pour évoluer dans les carrières mais également injecter dans l'économie le produit de son travail.

Dassault depuis quelques années est dans des conflits à répétition, j'en ai moi-même fait l'expérience en Grande Ecole d'ingénieur ou j'ai subis de l'harcèlement d'un de leur ancien stagiaire trop bien loti. Ma formation étant un temple de la conception mécanique, les produits Dassault sont les outils des ingénieurs concepteurs. Mais hélas j'étais un peu le mouton noir, car ayant une culture informatique j'attachais de l'importance à l'open source dans le cadre de la propriété intellectuelle. Virage sévère depuis la décennie, l'open source est partout chez les géants du numériques. Ce que Dassault Système continu sous licence propriétaire pensant ne pas subir la transformation de l'économie numérique. Chez les entrepreneurs ils n'ont pas la côte, licence trop cher, en Chine ou j'ai été les entreprises pirates les logiciels.

Car c'est une affaire de corruption dans le milieu de la défense française, Dassault subit de plein fouêt des attaques d'enquêtes de journaliste contre le "système Dassault". Dans le déni, on le sait, il faudra le démantelé que cela soit pour assainir le milieu, car l'entreprise n'attire plus les talents ou cela ce propage à tout le milieu de la défense française. Les ingénieurs ne veulent plus se salir. L'affaire Karachi est vive dans la mémoire. Soutenir le système c'est participer à la corruption.

Il est maintenant question de diplomatie, ou Dassault doit renouer avec les prolétaires au risque que de voir l'entreprise torpiller ce propageant dans tout le milieu de la défense française.

L'intelligence de l'entreprise, était de me détecter comme futur PDG durant mon passage en Grande Ecole venant de famille ouvrière et d'agriculteur, ayant des compétences dans la direction d'entreprise pour mon profil atypique, au MBTI je suis un ENTP. Profile des visionnaires et inventeurs. Je suis un mélange de Thomas Edison, Richard Feynman, Jack Sparrow et Mahmoud Ahmadinejad car musulman.

L'entreprise va devoir prendre des risques, ou il faut réformer en profondeur et renouer avec le dialogue sociale. Projet de propulsion innovante en R&D dans le nucléaire, elle doit rechercher la rupture technologique pour séduire, renouveler les méthodes de R&D et intégrer l'extreme manufacturing, robotisation des lignes de production, système embarqué à base de Linux et donc venant du milieu de l'open source. Il faut un industriel au commande qui est voué à la technologie ainsi qu'à la science et pas des bureaucrates qui ne pensent qu'à fréquenter des politiques.