La guerre contre les savants et la science des néofeministes

L'un des facteurs de la déterioration de l'occident sont les mouvements neofeministes, comme un véritable cancer civilisationnel comme rejet matérialiste strict. Analysons un peu cela, et comment bien trop de femme tombe dans le piège attirer par les sirènes neoféministes. Dans une optique plus religieuse, le sorcellerie est une guerre contre la figure du temple et sa science pour sa construction. Pourquoi? Car la construction du temple nécessite une hierarchie en tant qu'entreprise qui demande la coopération des individus. Ce que l'esprit libre neofeministe lutte contre toutes les structures en règle générale. C'est des attardés mentaux dans le sens qu'elles refusent de faire société et parfois se retranche vers la nature et abandonne la civilisation.

Le lien entre le néoféminisme, les mouvements new-age, et la renaissance des pratiques sorcières (comme la Wicca) peut être expliqué par plusieurs facteurs sociologiques, historiques et culturels. Voici un aperçu des principales raisons pour lesquelles ces mouvements s’entrelacent :


1. Réappropriation du pouvoir féminin

  • La figure de la sorcière comme symbole féministe :

    • La sorcière est devenue un symbole de rébellion contre les structures patriarcales. Historiquement persécutées pendant les chasses aux sorcières, elles incarnent des femmes puissantes, indépendantes et souvent en marge des normes sociales.
    • Les féministes modernes utilisent cette figure pour revendiquer une spiritualité et une autonomie alternatives.
  • Déconstruction des stéréotypes :

    • En s'associant à la sorcellerie ou au new-age, les néoféministes rejettent la vision patriarcale des femmes comme subordonnées, adoptant au contraire une spiritualité qui valorise l'intuition, la créativité, et la connexion avec la nature.

2. Influence du New Age

  • Spiritualité alternative et empowerment :

    • Le New Age promeut une approche spirituelle non hiérarchique, centrée sur l'individu, et souvent alignée avec des valeurs d'égalité. Cela attire de nombreuses féministes cherchant à échapper aux structures religieuses traditionnelles souvent perçues comme patriarcales.
  • Rituels et connexion à la nature :

    • Les pratiques du new-age (méditation, tarot, astrologie) mettent en avant une relation harmonieuse avec la nature et le cosmos. Ces thèmes résonnent avec les valeurs féministes écologiques et holistiques.

3. Résurgence de la Wicca et du paganisme

  • Wicca comme spiritualité féministe :

    • Fondée dans les années 1950 par Gerald Gardner, la Wicca met en avant des divinités féminines et des rituels qui célèbrent le pouvoir créateur des femmes. Ce contraste avec les religions dominantes patriarcales a attiré les féministes.
  • Collectifs et sororité :

    • Les cercles de sorcières dans la Wicca ou d'autres formes de paganisme fournissent des espaces communautaires où les femmes se soutiennent mutuellement, favorisant un sentiment de sororité et d'empowerment.

4. Critique des institutions traditionnelles

  • Rejet des normes patriarcales :

    • Le féminisme et le New Age partagent une critique commune des institutions patriarcales, notamment des structures religieuses, politiques, ou économiques.
  • Récupération des savoirs ancestraux :

    • Les mouvements féministes et new-age valorisent des savoirs marginalisés (herboristerie, médecine alternative, mythologie) souvent associés à des rôles féminins.

5. Esthétique et culture populaire

  • Médias et mode :

    • La popularité de la figure de la sorcière dans la culture populaire (films, séries comme Charmed ou American Horror Story) a renforcé son attrait auprès des féministes, notamment des jeunes générations.
  • Symboles et pratiques :

    • Les pratiques associées à la sorcellerie (cristaux, tarot, magie) ont aussi été adoptées pour leur esthétique et leur symbolisme.

En résumé, le néoféminisme s’entrelace avec le New Age et la Wicca car ces mouvements offrent des outils symboliques et pratiques pour remettre en question les normes patriarcales et des structures de gouvernance, valoriser la spiritualité féminine et promouvoir l’autonomisation collective. Ils partagent également des racines communes dans le rejet des institutions dominantes et dans la quête d'une alternative spirituelle et culturelle.