"On a qu'une seule planète!" Est le nouveau moto qu'on trouvé les capitalistes pour réduire la jeunesse dans ces rangs. Car cela est un fait, le capitalisme a toujours fonctionné sur le principe de pénurie. La concept de finitude est nécessaire à l'exploitation mais également à la richesse: quelque chose de dénombrable. Le capitaliste aime compter son argent.
La matière est quantifiable, on peut la transformer et la valoriser, depuis le début de l'intégration de la monnaie comme valeur d'échange, les hommes à travers le travail créer des objets que d'autres veulent posséder et demande donc une contrepartie pour s'enrichir.
Malheureusement les lois de la physique ne sont pas d'accord avec le capitalisme, ce qui est quantifiable et dénombrable donc que l'on peut aborder par le calcul et prédire n'est pas la règle atomique, ni de l'esprit: on ne peut pas sonder votre conscience.
J’apprécie la thèse de l'électron unique formalisé par Wheeler qui façonne bien une utopie de la réalité et de la pénurie dans le sens que toute notre construction de la matière repose sur la dérivée d'un électron unique qui ce balade dans le passé, le présent et le futur, la particule étant immortelle. Jusqu'à preuve du contraire protégé par le principe d'incertitude en mécanique quantique, attraper un électron est une tâche difficile: c'est à dire obtenir une mesure en partie à cause de la dualité onde-corpuscule de celui-ci. On ne peut qu'obtenir une probabilité de la position et donc de la vitesse de l'électron: on parle de nuage électronique dans le langage contemporain.
Le capitalisme fera la chasse à toutes théories de création de la matière, si celle-ci est abondante: sa valeur intrinsèque chute sur le marché. L'économie de la rareté à toujours contrôlé le capitalisme. La copie et l'abondance sont généralement des valeurs du communisme. Anthony, tu me diras, mais une théorie de l'abondance de la matière sera également la chasse gardée du religieux à travers la création. C'est pas faux, d'ou le fait que le communisme ne peut pas faire abstraction du religieux dans sa théorie de l'abondance. En réalité le communisme est soumis au religieux qui contrôle le temps et l'observation dans l'univers.
Une des thèses du communisme est de saturer le marché en produit le rendant gratuit ou à un prix dérisoire de fait de son abondance grâce au moyen de production et donc de l'automatisation de l'industrie. C'est à dire que le savoir-faire n'est plus contrôler par la haute bourgeoisie qui en tire une rente.
"Chacun peu produire ce qu'il veut, en fonction de l'imagination que celui-ci a qui limite la manipulation de système."
Thèse que je développe marxiste et la ré-appropriation de la production à travers l'un des buts de l'humain agricole en mettant en culture l'ADN pour la faire transmuter dans le temps. Reproduire les processus de l'univers dans des containers isolés du système. Notre univers observable a une finitude, il est dénombrable, même si les distances peuvent être colossales, l'humain doit ce concentrer sur des systèmes multi-univers et récursif pour atteindre l'abondance. Un système dénombrable deviens infini une fois que l'on approche des théories de récursivité, il faut admettre le copie du système lui-même qui transmute dans le temps.
Je suis généralement pour un transhumanisme, mais je n'accepte pas que la transformation en machine de l'humain soit contrôlé par des firmes et industriels privées qui définissent une valeur à leur produit: c'est un problème de dépendance et vecteur d'inégalité. La question de l'accès doit être universel, mais le choix de devenir une machine est personnel.
Ainsi, je travail sur l'élaboration de théorie que l'on peut soit même produire des machines à partir de notre propre ADN dans un univers parallèle et ce libérer de la contrainte industrielle localement. Si vous devenez non-local, on aborde bien des problèmes de la physique quantique.
La pénurie est une question d'échelle, dans la galaxie les ressources sont illimités, donc la richesse ne peut pas être détenu par une minorité. Notre civilisation qui protège l'idée d'une seule planète fait opposition à la civilisation galactique qui est nécessairement un évènement religieux, c'est à dire qui controle le temps et l'observation, ce qui est un pouvoir absolu. En restant locale le capitalisme fait son nid. Défendre l'ordre établi, en physique c'est donnée de la valeur à la causalité qui régit la mécanique céleste depuis la création.
Notre monde n'est pas véritablement prêt à quitter le capitalisme sans intégrer dans l'enseignement en physique la mécanique quantique pour changer de paradigme sur la nature de la réalité. Le rejet du nucléaire et donc de la mécanique quantique relativiste brise les fondements modernes scientifiques.
Certain mouvement anti-capitaliste et socialiste sont réuni dans l'écologie qui prône la décroissance, limité l'utilisation de ressource fossile et nier la radioactivité alors que le rayonnement est moteur de notre transmutation depuis la bactérie il y a des milliards d'années. Cette obscurantisme fait obstacle aux idées de renouvellement des ressources tels que la recherche en terraformation, mais les écologistes vont plus loin en refusant l'exploitation d'autres planètes ou cailloux pour réduire l'empreinte de l'humanité: il force à continuer le système de pénurie en pensant que le rationnement est l'avenir réduisant la production et donc faisant obstacle à l'enrichissement des industriels.
La sauvegarde de la planète est la mère des pếchés, ces idées de conservation prône la stagnation et de continuer l'économie de rareté, croire que cela est unique et irremplaçable est un problème de civilisation matérialiste qui attache trop d'importance à la matière et aux objets.
Le capitalisme pousse à acheter ce qui est unique par le marketing, c'est également idéaliser dans les comportements humains et de rencontre ou l'on idéalise l'être par sa singularité à nos yeux. Le communisme détruit ces valeurs, et fait toujours couler de l'encre sur la fin en réalité d'un problème depuis des millénaires qu'est l'idolatrie et leur caractère unique. On ne fait que recycler des problèmes.