Je suis tombé sur deux articles qui posent des principes de la désillusion de la génération Z sur le marché du travail. Ils se rendent compte que malgré leur diplome et leur qualification, il ne trouve pas de travail.
Qu'es-ce qu'il c'est passé? Et de ma propre experience de chomeur. Une concurrence féroce pour les emplois et la limitation d'offre d'emploi qualifié. C'est le cas par exemple en informatique à Brest. Je voyais le salon de l'emploi, j'ai été faire un tour et Apside l'entreprise d'informatique etait la seule dans le domaine. Résultat un nombre impressionnant de postulant au stande de l'entreprise pour en réalité très peu d'offre. Apside publie parfois des offres souvent de développeur Java. Je connais le marché de l'informatique sur Brest et le tissus économique.
On le voit aussi ce phénomène dans le monde des écrivains... Il y a de plus en plus d'écrivain amateur (comme moi) mais très peu de livre édité et les maisons d'edition sont forcé de refuser des manuscrit. Très peu de chance aujourd'hui de ce faire éditer. Trop de monde sur le marché. On est noyé dans la masse. Comment alors ce faire connaitre? Connaitre l'éditeur et faire marcher son réseau... Et c'est devenu la règle...
Et ce phénomène est globale... On forme des diplomés en faisant la promesse que l'école et leur parcours a de la valeur sur le marché de l'emploi. Ce qui est faux.... Et très naïf. De plus l'ascenceur sociale est bloqué en France. Il y a de moins en moins de gens de millieu défavorisé qui accède à des emplois qualifiés et de cadre. Pourquoi? A cause du marché caché de l'emploi. Qu'es-ce que c'est? C'est que la plupart des bons postes sont déjà pourvu avant la publication sur les sites internet via les recommandations et le bouche à oreille. Généralement c'est le marché entre réseau d'affaire et ce qui ont déjà leur ticket d'entrée dans des cercles fermés. Ce système, je l'ai découvert en grande école d'ingénieur. Les familles CSP+ ont leur ticket d'entrée dans les réseaux CSP+ de cette manière, tout en étant consanguin et ce reproduisant entre eux. C'est une forme de ploutocratie ou les riches et donc les cadres supérieurs n'acceptent pas que des familles ouvrières puissent partager leur gateau et privilège de classe.
Après c'est logique, c'est une question de déclassement. Une famille d'ingénieur et de cadre supérieur généralement les enfants deviennent aussi des ingénieurs et cadre supérieurs et donc monopolise leur réseau pour trouver un emploi. Rare sont ces familles qui acceptent le déclassement et donc généralement des emplois moins valorisant tel que finir à l'usine sur une chaine de production.
En tant que de famille ouvrière et paysanne j'avais un handicap de classe sociale pour me faire connaitre dans le milieu et prouver que l'on pouvait me faire confiance et que j'allais pas saboter la première entreprise par en réalité une haine des riches.... Et ils ont très peur que les pauvres sabotent leur travail ou expose le système en place et comment ils sont en réalité très consanguin et qu'il y a une séparation net entre les pauvres et les riches et que la guerre de classe n'est pas une utopie...
Voila deux articles parut cette semaine sur le sujet:
- Le drame de la génération Z : des années d'études pour se retrouver dans des emplois pour lesquels ils sont surqualifiés
- On nous a vendu du rêve : le cri d’alarme des jeunes diplômés face au chômage
Alors les filles parfois pour s'en sortir, pense, suffit de vendre son cul et ouvrir un OnlyFans... Cela ne marche plus trop car aussi même problème: le marché est saturé, trop de modèle, trop de monde. Premier arrivée, premier servi...