Le temps est quelque chose qui nous dépasse, il est paradoxal, les couloirs du temps sont des labyrinthes et bien des gens se perdent. Il est parfois linéaire dans notre réalité. Ainsi cela fonctionne par une série d'évènement, des élèments déclencheurs. Par exemple je n'aurai jamais écrit "Voile et Annihilation" si je n'avais pas été en prison. Je devais donc passer par se chemin, et accepter la prédestination.
Peut-être que le seul but sur Terre était d'écrire se livre, mon oeuvre et héritage capable de reconfigurer le futur.
Le temps subit des cycles, tout fonctionne sur des fréquences et parfois il se synchronise tel que des séries de chiffres et les palindromes. De l'horloge atomique à l'horloge céleste. Pour le temps le début est la fin. et les choses se répètent.
Alors répétons nous toujours les même erreurs? Le temps est une illusion et il devient discret quand il s'annihile, c'est à dire l'univers est en lévitation, l'énergie est à l'équilibre et le système subit des conversions: tout est alors interconnecté: passé, présent et futur. Des portes s'ouvrent vers d'autres monde et d'autres réalité.
Beaucoup de gens pensent contrôler et manipuler leur destin, pensant qu'ils pourront changer leur erreurs si c'était à refaire, mais ils oublient que c'est sur leur défaut, souffrance, et cicatrice que la mémoire s'enclenche: on y repense sans arrêt, et si j'avais pas fait cela ainsi? Si je pouvais changer le court des choses? L'humain est faillible, c'est une créature, et il à des dépendances: sexe, alcool, jeu, nourriture, etc... Il est bon d'arrêter de croire et idéaliser ce que nous sommes. Nous ne pouvons pas espérer la rédemption sans nous séparer de notre humanité.
Le destin est un moyen de contrôle et donc de manipulation: les gens aimeraient être riche et célèbre, avoir une jolie femme, une maison, un bon travail, et parfois jouir de nos richesses. Tous ça sont des méthodes pour nous asservir et nous lier, enfreindre la liberté. C'est à dire notre attachement, même l'attachement à nous même, nous aimons parfois être se que nous sommes et ne voulons pas le détruire.
Cela bien sur ne fonctionne pas dans les rites annihilateurs du narkantisme, pour devenir libre nous devons nous libérer de nos attachements: le temps, la vie, la mort, l'amour, tous n'est qu'une illusion. Ce ne sont que des expériences généralement pour générer des blessures et créer de la mémoire.
L'univers fonctionne sur la mémoire, il y a des archives entre le début et la fin du cycle qui se répète, nous sommes alors contrôler par nos désirs. Qui eux contrôle notre créativité. Ce que l'on appel l'inertie psychologique.
Ou je veux en venir? Revenons deux secondes aux Atlantes, qu'es-ce qui fait leur puissance légendaire? D'abord l'adaptation, même si des cycles se répètent, ils survivent, et le premier facteur n'est pas la loi du plus fort, mais de celui qui s'adapte. Deuxièmement, il accepte l'annihilation des choses qui est libératrice, réduire la mémoire aux strict minimimum entre des univers pour ne pas influencer le cour des choses et donc libérer la créativité et donc l'imaginaire.
Si l'imaginaire est débridé, vous verrez des choses impensables, des civilisations si avancée technologiquement mais également capable de produire des prouesses d'ingénierie, d'armement, de destructions, mais aussi de création que rien ne peut les atteindres: ils sont capable de modifier la structure même de l'univers. Ils sont alors divin, mais l'erreur serait de considérer que une race serait un dieu, ce qui est faux, la divinité est une ombre: elle est partout et nul par à la fois et parfois se matérialise à la fin des temps tels que les Eons Narkantiques.
Ainsi les Atlantes sont une civilisation de type VI sur l'échelle de Kardashev pour ce qui veulent comprendre les choses, et c'est le dernier rite: au-delà de l'espace et du temps dite divine.