En physique nucléaire je me suis intéressé à un problème récurrent, que l'on peut nommer le processus de massifaction. A la base c'est une expérience de pensée.
Je me suis appuyez également sur des données tel qu'en astrophysique pour faire part de ma réflexion. Il y avait un problème qui m'obsédait, c'est la création des planètes et des étoiles et le processus qui enclenche le massifaction. C'est à dire comment des poussières ou du gaz peux-ils augmenter en volume et en masse pour enclencher une chaudière nucléaire naturellement...
Et c'est un grave problème de physique nucléaire, nous sommes incapable de comprendre cela aujourd'hui, qui est pourtant essentiel pour le design futur des réacteurs nucléaires. Si nous comprenons pas les processus naturels, on aura beaucoup de mal à faire de l'ingénierie derrière car le principe physique n'est pas compris.
Aujourd'hui le seul processus de massifaction que l'on connait est la croissance des embryons ou des plantes. C'est des problèmes de fécondation et de fertilité. La fertilité est exposé en physique nucléaire tel que le thorium. Un élément fertile, il lui faut un catalyseur pour enclencher le processus de réaction en chaine tel que l'uranium ou le plutonium.
On peut donc généralement se référer au cycle de nucléosynthèse pour entretenir une réaction. A la base il suffit pas grand choses, c'est le cycle proton-proton (le protium) en fusionnant on obtient du deuterium. L'hydrogène est très facile d'accès, à la base c'est de l'eau. Et donc les réacteurs avancées normalement en ingénierie nucléaire utilise ce principe. On a vaguement exploré avec l'eau lourde. Mais cela ne s'arrête pas à ça...
p+p→ 2H + e+ +νe
Le problème principale de fusion nucléaire est la barrière de Coulomb. Pour fusionner deux noyaux, il y a une force de répulsion qui faut franchir. Et les étoiles monte en température et en pression via la gravité. Mais c'est de l'ordre du collossal... Il faut atteindre: 10 millions de Kelvin et 200 terrapascals.
Comment un processus naturel, peut-ils générer cela. C'est un casse tête, car on y arrive pas en ingénierie.
C'est à dire comment du gaz, en l'occurrence de l'hydrogène entre en pression naturellement et monte en température sous la force de gravité. Pourtant on a un problème assez conséquent, l'univers à la base est froid à 2,72°K. Il est inerte.
D'ailleurs on le dit maintenant en cosmogenèse les étoiles se forment dans les nébuleuses obscures. Les étoiles se forment dans des régions froides et denses de l'espace appelées nébuleuses obscures ou nébuleuses moléculaires. Ces nuages interstellaires sont principalement constitués de gaz (principalement de l’hydrogène) et de poussière, et ils servent de « berceau » pour la naissance des étoiles. Ces régions sont souvent situées dans des zones appelées régions HII, qui sont des zones d'hydrogène ionisé créées par des étoiles massives. Ces nébuleuses obscures sont des régions qui ont la caractéristique d'absorbé le spectre et d'avoisiné la température de 10°K qui est un seuil de la supraconductivité naturel.
C'est à dire que les physiciens nucléaires et ingénieurs qui recherche dans le milieu à monter en température et pression un four tel que ITER ont tout faux...
La physique nucléaire et la formation d'étoile est dans le domaine de l'ultra froid ou il y a un silence radio car le spectre est absorbé. La gravité est associé au milieu froid en physique de matière condensée. D'ailleurs la lévitation et phénomène supraconducteur sont aux alentours de 10°K. Pourquoi le CNRS ne fait pas des recherches exploratoires sur les théories de l'univers supraconductif et donc electrique?
C'est un problème d'arc. Ou de torche. Pour enclencher le processus de fusion nucléaire dans une nébuleuse obscure car à la base elle est inerte, il n'y a pas de différence de potentiel, ce n'est pas qu'un problème de température et de pression. Il faut un arc. C'est à dire une phénomène d'electrolyse dans une univers électrique et supraconductif: il faut un courant
Qui l'enclenche, c'est naturel? C'est toute la question que doit répondre les physiciens, es-ce artificiel? La question que ne veut pas répondre les physiciens, la fécondation artificielle et intervention de machine ou divine...
Tous des guignols au CNRS et en réalité il freine le développement et la recherche nucléaire car la percée créé une telle révolution énergétique mais aussi sur la maitrise des transmutations que cela basculerait en société d'abondance et détruirait le capitalisme. Ce monde est totalement "doomed". La science a été vaincu par l'idéologie et les petits intérêts de quelques personnes.