Le retour des corsaires bretons
Voilà le mot est lâché : autonomie, de quoi réveiller des cellules dormantes pour mettre le bazard. Sébastien Le Cornu annonce à la Guadeloupe qu’a travers les actes de violence récent ouvert à l’autonomie. Ce n’est pas passé par l’oreille d’un sourd pour les Corses dont il y a peu de temps le FLNC a fait une petite boutade sur le retour de la lutte armée. Peut-être que par la violence le pouvoir parisien s’éveille qui par le temps est devenu sclérosé par la centralisation. Et il y tienne nos politiques, Emmanuel Macron a dit que neni pour la décentralisation quand à l’éducation nationale, on a toujours peur de l’apprentissage de langage par immersion : bref rien n’avance, même pas les autruches.
Je viens de la Bretagne profonde, des coins reculés ou sont tagués les initiales du FLB-ARB sur des transformateurs électriques aux murs désaffectés, pour rappeler une présence, celle du navire fantôme breton. Mais le temps a changé, les actes de sabotage en réponse à l’État sont maintenant déporté dans le cyberespace à travers des groupes APT de hackers sponsorisés pour voler secrets industriels, extorquer des entreprises ou saboter des infrastructures. L’exemple de Stuxnet est un cas d’école de la portée en matière de moyen cyber.
Les bretons ont ils un rôle à jouer dans la transformation de l’économie mondiale en s’opposant de nouveau à Paris jouant le rôle de province pirate, héritage des corsaires tels que Robert Surcouf. Car le monde est en suspend, des événements tels que l’arrestation de Julian Assange ou l’affaire Edward Snowden rappel qu’il n’y a pas de terre d’accueil assez puissante pour s’opposer et protéger ces défenseurs des libertés. On pourrait me traiter de libertaire. C’est un équilibre, un grand attracteur de Lorenz qui redéfini les acteurs et partie prenante, ou l’impacte d’un battement de papillon créa un cyclone à l’autre bout du monde.
Ce que la Bretagne doit faire pression et ne pas rester les bras croisés quand on parle d’autonomie est de proposer une stratégie du choc à la France pour décentraliser l’État sclérosé en donnant le statut de province autonome pour l’expérimentation.
A travers un plan de développement de gouvernance IA pour la prise de décision par la supervision de hackers. Aller plus loin que le partie pirate sur les libertés informatiques et le droit à la vie privée en proposant les libertés économiques de l’Irlande, le droit du travail de la Suisse, la gouvernance des communautés de Singapour : transformation cosmopolite et intégrer une politique du logement à la Hong-Kong, c’est à dire construire verticalement. On ne pourra pas arrêter les flux migratoires au contraire cette main d’oeuvre motivé ne demande qu’a acquérir un confort de vie, et permet de dynamiser l’économie. La formation si les infrastructures éducatives sont saturés accélère la demande en institution numérique libre, l’accès à l’informatique et l’électronique à bas coût pour les STEM(science, technologie, ingénierie et mathématiques) en privilégiant les partenariats économiques avec des pôles dans le domaine. Il faut former plus d’ingénieurs, même parmi des immigrés, leur donner l’opportunité pour transformer le paysage breton. Il y a des programmes et tentative d’université open-source en anglais.
Si on s’empare de la question de l’héritage culturel la Bretagne devrait parler trois langues officielles incluant l’anglais à l’international, le français, et le breton en local. Il faudra compter par accélérer la formation au chinois pour la bonne entente avec des fournisseurs et nouer des liens stratégiques. Donner des leçons de démocratie est has been et contre productif. La réalité, si la population s’enrichit, on achète la paix sociale et dynamise l’économie. En finir avec la révolution française, ces soit-disant héritier politique et tourner la page sur le clivage de la société française malade de ces droits de l’homme. Ils ne résolvent pas tous les problèmes et n’empêche pas les morts dans la rue.
La question de zone portuaire, pour le développement économique breton il faudra transformer un port en HUB commercial international pour les containers, c’est une clé de la réussite, l’avion est trop cher et limité, le fret de train hors de portée. Il faut parier sur l’océan Atlantique comme ouverture et s’étendre.
La montée des eaux est là pour durer, Paris devrait déjà prendre en compte que dans 5000 ans elle sera noyée, pour préparer la nouvelle génération il sera nécessaire de reculer dans les terres les zones portuaires et s’adapter, le besoin en ingénieur pour planifier cette évolution va exploser. La Bretagne a un rôle à jouer et deviendra peut-être une île refuge pour tous les déplacés climatiques en Europe occidentale. Préparer des zones de transformation évalué sur 5000 ans jusqu’à la fin de la fonte des glaces. Il faut prendre les scénarios les plus pessimistes et ce préparer.
La Bretagne se doit de remettre en cause la dissuasion nucléaire sur son territoire car il s’avère que les questions de puissance ou d’autonomie étatique ne sont plus liés à l’utilisation de la force brute, garder le tissu du complexe militaro-industriel est nécessaire mais la maintenance d’infrastructure militaire nucléaire en vue d’une frappe qui ne viendra jamais, nos politiques se font des illusions. Vivre dans l’attente d’une guerre nucléaire est le cauchemar des conservateurs. Et ceux-ci sont résistant aux changements dans les institutions en voir le programme de la DAMB(défense anti-missile balistique). Encore une ligne Maginot française, que des craintes quand il est si simple de détourner.
C’est la portée de proposition transhumanistes face aux conservateurs politiques ou religieux, les pays les plus développés sont aussi les plus robotisés source de main d’œuvre qualifiée pour la maintenance et ayant des revenus plus élevés. Évoluer vers la machine, la société auto-fabriqué est un défi a relever car nos yeux doit être tourné vers l’espace sur le long terme qui est hostile à l’homme, l’exploration future ne peu ce faire sans la machine, si nous devons coloniser l’espace cela sera des machines pouvant supporter un voyage interstellaire qui fabriquerons des humains pour l’implémenter sur des terres fertiles. Réindustrialiser signifie d’automatiser la production, l’industrie 4.0 sera sans les humains qui auront plus d’occupation culturelle, de loisirs, de science et création. Les tâches répétitives ne sont pas pour nous et nous devons mettre en place des moyens techniques pour résoudre ces problèmes.
Si une divinité existe, soyez sure quelle serait un hacker dépassant le genre, hackant l’espace-temps à la recherche de monde parallèle pour prédire des scénarios, même les plus improbable pour son auto-réplication future assurant son immortalité.