Nous allons parler de conditionnement, certain se moquent du livre 1984, mais aujourd'hui c'est bien pire sur Terre. Toute puissance supérieur ou pouvoir qui exploite une population est de faire croire qu'ils vivent dans le meilleur des mondes en créant des dépendances.
Vous n'êtes absolument rien sur Terre, vous n'avez aucun pouvoir, vous n'avez pas d'argent, et donc peu de loisir ou de pouvoir d'achat et pourtant, au fond de vous pensée qu'il faut défendre le système... Il y a peut-être un piège: une prison psychologique.
Pourquoi la population ne ce rebelle pas? Malgré les difficultés à trouver un emplois, à payer les factures, à s'insérer dans la société ou sortir de son isolement: qu'es-ce qui fait que vous défendez le système. Le système peut-être entièrement pourri et corrompu pour s'approprier le pouvoir par une elite et donner que des miettes à la population. Ce qui est le cas sur Terre, les millionnaires ne représentent que 0.93% de la population qui peut s'amuser, voyager, prospérer et profiter de la vie: et même arrêter de travailler et vivre en tant que rentier.
Mais vous travailleur, misérable, galérien vous continuer dans cette optique et pire vous defendez le système qui vous opprime. Si vous étiez riche je comprendrais que vous vivez votre meilleur vie et donc être un profiteur. Pourquoi donc cette attitude?
Comme tout système de dépendance, vous ne voulez pas mordre la main qui vous nourris. Vous n'êtes pas autonome et encore moins un adulte. Si le système s'éffrondre ou deviens le chaos: vous avez peur de l'effrondrement et n'êtes pas prêt donc vous le protéger en continuant à y participer tel qu'en étant un salarié précaire. Vous pourriez dire: allez vous faire foutre, j'écris un blog et préparer l'apocalypse, je suis un prédicateur et ma fin sera votre fin à tous bande d'abrutis.
Le système ne veut pas de vous, ne veut pas vous enrichir et que vous ayez une vie confortable, pourquoi donc le défendre? Ou est le challenge? Vous pensez que la méritocratie existe? Si vous apprenez bien à l'école vous aller devenir riche et changer de classe sociale? Vous rêvez toujours? On vous a fait croire sur Terre que vous aller pouvoir réaliser tous vos rêves. La réalité est plus dur.
Tel des hamsters en cage, vous n'êtes pas débranché de la matrice et vous continuez à vôter pour des politiques qui sont tous aussi pourri les un que les autres et ne défendent jamais vos intérêts et ne font que tenir aucune promesse, ils continuent d'année en année et vous croyez encore que le système va changer: vous espérer une éclaircie et un peu d'espoir. Il y en a pas.
Alors bien sur le système vous a conditionné, et vous à fait croire que le bonheur c'est s'acheter une voiture ou voyager en avion tel un consommateur niait. Voir pratiquer votre sport favoris en quête de liberté: faire du vélo. Un peu comme mon père, un idiot patenté mais bon.
Vous voudriez créer des civilisations? Alors on vous à consoler sur le jeu "Civilization VI". Envie de guerre et de conquête? Alors on ronge son frein sur "Eve Online": la vie IRL est pourri alors vous essayer de vous réfugier dans des mondes virtuels et oublier la réalité. Tellement de gens sont pris au piège: pour divertir les pauvres.
Il y a toujours le mythe du héros, on a largement appuyez sur votre égo et le système vous a promis mont et merveille si vous le sauviez... Car c'est le but ultime de la manipulation, malgré que le système soit pourri: que vous voudriez sauver l'humanité comme Jésus, ce crétin. On vous a promis dans l'au-delà le paradis si vous sauviez l'humanité, vous auriez plein de cadeau. Et l'enfer si vous tentez le génocide de la race humaine et son esclavage des survivants, de toute façon c'est des abrutis finis, voyez comment il défende le système qui les opprimes.
Vous me croyez pas? Regarder le Venezuela, le système c'est effrondrer, la vie est difficile, la monnaie vaut plus rien. Et pourtant toujours les même au pouvoir et la population bien contente que l'on donne quelques restes. Sympa le socialisme.
Le pire dans tous ça ils vont ce battre pour defendre le système qui les opprimes