Les jeunes et la France

Un post sur twitter / X de "ChienSurpris" retwitter par H16 que j'apprécie ces topics en particulier son dernier post: La France s'appauvrit de plus en plus vite, ou je partage l'analyse à lire et la déconnexion de nos élites, dont j'ai déjà parler sur ce blog et mon expérience en grande école d'ingénieur. Je suis entièrement d'accord que la France est devenu une colonie sous soumission des USA en partie à cause des fonds d'investissement d'entreprise, la finance et des GAFAM, vendu par les entrepreneurs et brader, je voyais ma propre mère, Nathalie, qui n'arrive plus à marcher qui devait faire une demande de AAH innondé sous une demande de paperasse dont personne comprends et il faut obligatoirement faire appel à un tiers comme assistanat social (ils sont à 3 dans le foyer, aucun n'arrive à faire les démarches correctement):

"Il y a une génération entière, née dans les années 2000, qui ne voit plus son avenir en France. Pas par caprice, pas par envie d’exotisme, mais par instinct de survie. Leur seul objectif ? Se barrer avant que le pays ne les broie et les transforme en dépressifs sous antidépresseurs, coincés entre précarité et fiscalité confiscatoire.

Et comment leur en vouloir ? Ils ont grandi dans un pays où l’ascenseur social est en panne, où l’ambition est suspecte, où chaque réussite individuelle est vue comme une anomalie qu’il faut punir. On leur a vendu l’idée que la France est une “chance”, alors qu’en réalité, c’est devenu une nasse, où tout est fait pour empêcher ceux qui veulent s’élever de le faire.

Dès qu’ils entrent sur le marché du travail, ils comprennent l’arnaque. Ils voient leur salaire amputé par des charges délirantes, tandis que ceux qui ne foutent rien encaissent des aides sans contrepartie. Ils constatent que monter une entreprise, c’est se mettre une balle dans le pied, avec des normes absurdes et une administration qui agit comme une mafia institutionnelle. Ils comprennent que le mérite ne vaut rien face au copinage, au clientélisme et aux “quotas”.

Le pire, c’est qu’ils ne partent même pas par plaisir. Ils sont chassés. Par un système qui punit l’effort et subventionne la médiocrité. Par une classe politique qui leur explique que “partir, c’est trahir”, alors qu’elle-même ne jure que par Bruxelles et Washington. Par une bureaucratie qui étouffe chaque initiative sous des montagnes de paperasse, pendant que les vrais décideurs s’octroient des passe-droits et continuent de festoyer sur les ruines du pays.

C’est ça, le vrai bilan du socialisme appliqué à la jeunesse : un pays où l’ambition est considérée comme une maladie, où l’optimisme est un luxe, et où les meilleurs éléments sont poussés à l’exil. Une France qui ne fait plus rêver personne, sauf ceux qui vivent aux crochets du système et qui comptent bien en profiter jusqu’au bout."

source https://x.com/ChienSurpris/status/1896918505481552026