Les morts dans la rue

La France a un nouveau triste record de 850 morts dans la rue l'année dernière. Il était 500 auparavant en moyenne. Une pensée pour ces gens trop souvent oublier et isoler.

Lié à la politique du logement, la ré-insertion des errants et des démunis et le pouvoir de l'argent. Et donc un pays qui laisse des laissés pour compte, et n'est pas si fraternel que ça, bien illusoir. C'est aussi une méthode de torture occulte pour purger des marginaux.

Le pays au monde avec le plus faible taux de SDF et mort dans la rue est le Japon. Peut-être que le pays du film "Le Tombeau des lucioles", a fait un electrochoc. Possible, difficile de pas voir dans ce film une image de la violence de la société et son indifférence. Ou la nourriture est le nerf de la guerre. La famine, la nécessité de donner à manger sans condition aux démunis sans logique économique et de profit fait parti des grandes failles du capitalisme. D'ou que celui-ci ne fonctionne pas.

Dans le capitalisme strict, ne pas travailler et avoir un salaire, ne permet pas de se nourir. Dans le droit, ce nourir est lié au profit et non comme une nécessité humaine.

Passons donc les débats stériles, les jobs alimentaires pour bien des gens par nécessité et la déconnexion d'une parti de la société qui passe leur temps dans les orgies et les restaurants au mépris des démunis.

La grande bouffe m'écoeur.