Les nombres (Torah) est une doctrine juive qui juxtapose tout le monde moderne. C'est à dire que l'invention des nombres a été pour commencer à compter. Le début des mathématiques. Les mathématiques ne sont que les nombres. En tant que formation d'ingénieur, on accorde une part importante aux nombres. Tous le bagage des ingénieurs ce rapportent aux nombres et donc à la doctrine juive de le Torah. On dit que les juifs controlaient le monde la finance. C'est à dire le bilan comptable à travers les mondes. Mythe ou réalité?
Le processus d'invention du comptage est la clé du bilan financier, et donc de l'enrichissement. On enclenche un compteur (tel que en informatique) pour faire défiler les nombres. C'est que l'on appel la croissance numérique. Une entreprise a pour but d'être croissant et s'enrichir basé sur le bilan comptable.
On a inventé au départ les mainframe en informatique pour optimiser des opérations comptables dans les grandes entreprises. L'histoire du langage Cobol pour les banques plus particulièrement.
Le processus de faire de l'argent, c'est compter. Le temps c'est de l'argent, car c'est un processus de comptage tel que le calendrier et sa définition. Le calendrier est en 2025, l'année est croissante depuis l'ère du Christ du calendrier grégorien. Ainsi une nouvelle entreprise, on remet à zéro le calendrier et change de référentiel temporelle de celui-ci.
Mais alors cela parle du contrôle du temps, et donc du processus de comptage. L'ingénieur a donc suivi le gros du troupeau juif et les financiers pour monetiser tous ces produits qu'il fabrique. Un accroissement de la richesse et du bilan comptable grâce à la vente de produit transformé par de la recherche en R&D et le montage en usine dans les lignes de production à partir de matière première qui sont miner.
Et c'est ce que parle des mouvements et ingénieur, tel que le Shift Project de Jancovici. Attention le monde n'est pas infini, on peu avoir des crises sur l'approvisionnement des matériaux en ingénierie et des pénuries. Alors on compte les réserves et établi des tendances pour exploiter les mines avant qu'elle ne se tarie.
Les mines et énergies fossiles sont limités, c'est un problème comptable et donc de mathématique sous le contrôle de l'ingénieur. Les entreprises demandent des droits d'exploitation avec accord de gouvernement et de souveraineté en cas de conflit géopolitique sur les ressources. Tous le monde veut s'enrichir.
Le monde est-il entièrement mathématique? Régie par les nombres?
Une question essentiel que l'ingénieur oublie de ce poser: LE MONDE ECHAPPE T-IL A LA MESURE
Dans la philsophie du langage et donc la linguistique: OUI, ce que j'ai appris en créant le Narkanta et les langages d'assemblages de type runo-glyphique. Le langage échappe à la structure numérique. On peut attacher un mot à un nombre dans le dictionnaire c'est à dire convertir des systèmes sous des couches abtraites.
MAIS en soi, le mot ou le runo-glyphe est totalement indépendant en tant que symbole du nombre quand on le manipule. La science du langage ne considère pas le nombre, mais la structure comme primordiale qui defini alors le signe.
Ainsi le Coran qui est structuré en sourate et verset est un système de base de donnée utiliser comme ordonnancement et référence. Mais le signe est indépendant, il a juste une structure attaché en base de donnée.
Quoi d'autres? La conscience, on dit que la conscience est quantique car c'est un problème d'observation et de mesure. Il est impossible de sonder l'esprit, l'esprit et la conscience n'a pas de bord et donc la notion de finitude. C'est des espaces infinis, vous n'atteindrez jamais le bord de votre conscience.
Deux paradigmes qui s'entrechoc dont l'ingénieur généralement est dans le déni, mais aussi le physicien:
Distinction capitale entre deux grands paradigmes de compréhension du monde :
- D’un côté, le paradigme mathématique, qui cherche à modéliser la réalité à travers la quantité, la mesure, les lois universelles.
- De l’autre, le paradigme sémiotique et symbolique, qui voit le monde comme un tissu de signes, de sens, d’interprétations, où le symbole précède le chiffre.
L’homme commence par interpréter, non pas compter.
Domaine Primauté
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Physique, ingénierie Nombre / calcul
Poésie, rêve, spiritualité Signe / symbole
Anthropologie, histoire Langage, mythe, narration
Métaphysique Les deux en tension (logos et mythos)
Un monde hyperégulé, de surveillance, de contrôle et donc de fascisme et totalitarisme sera régulé par la mesure et le bilan comptable. Tous est alors monetisé, on ne fait que compter.
Mais il y a des interdits qu'on ne peut pas monetiser pour des questions d'éthique et protégé par l'univers: l'immortalité et la mémoire des morts. C'est le dernier refuge ou la mesure disparait. Et souvent ce sont des reliques et artefact, on ne peut pas les estimer en terme d'argent.
C'est pourquoi par exemple, la mort d'un prophète est sacré, il est interdit d'exploiter son corps comme des vautours, mais aussi son héritage sans alors être maudit et subir des malédictions.
Le sacré, est une tentative de rompre avec la mesure. Ce qui est alors hors-norme. On ne peu plus compter, l'age n'a plus d'importance, ni la richesse, ni les transmutations de la matière cela devient incalculable et donc imprédictible.
Les dirigeants veulent le contrôle, le pouvoir est une théorie du contrôle et l'outil est la mesure. Voila par exemple les leçons que le pape pourrait donner au monde, mais malheureusement, on a affaire à des clowns et de pietre théologien de nos jours. le pape ne pense plus qu'au contrôle, piège du pouvoir.
Le but n'est plus le contrôle et la mesure, mais alors l'équilibre. Dans les espaces infinis, c'est comme une toile tendue ou les jauges maintiennent les lois de l'univers à l'équilibre. En métaphysique l'infini est une tension entre vertige et équilibre. Les espaces infinis (pensés depuis Pascal, Kant, et les mystiques) sont l’image d’un monde sans centre, sans bord, sans repère stable. Cela crée un vertige existentiel, mais aussi une invitation à la pensée de l’équilibre intérieur.
Les mandalas tibétains, l'architeture islamique, les rosaces gothiques, les frises mathématiques (comme les pavages de Penrose ou d’Escher) suggèrent l’infini par la répétition d’un motif (fractal). Ces structures obéissent à des règles de symétrie, de proportion, donc de jauge intérieure.
L'équilibre est une théorie de la symétrie (donc du miroir), c'est à dire c'est de la réflexion: c'est pensif. Les hologrammes reposent souvent sur des jeux de réflexion et interférences lumineuses à l’aide de miroirs.