L'Allemagne nazie n'a pas inventé le totalitarisme, même si les pratiques peuvent interroger. C'est fondamentalement un concept religieux que le totalitarisme et à la base une guerre contre l'hérésie. Les nazis ont maquillés une purge religieuse derrière leurs actions dont ils s'en sont pris entre autres aux franc-maçons, juifs et témoins de Jehovah. Plus particulièrement. Aujourd'hui, cela serait assimilé à l'Islam. D'ailleurs Hitler voulait s'attaquer au Vatican et au pape Pie XII. Même si réprimer les catholiques en Europe était une entreprise risquée. Le nazisme est né sur un terreau protestant en Allemagne berceau du lutheranisme et donc fondamentalement opposé au pape. Les deux pays les plus protestants au monde sont les allemands et les USA. Dont les scientifiques nazis dans l'opération Paperclip ont été recasé comme prise de guerre.
D'ou que l'on peut s'intérroger de l'impact du nazisme à sa chute et donc bascule dans l'au-delà après 1945, ou au pays des aryens: l'Iran il y a eu une révolution islamique. Et Les nazis ont fortement invoqué (doua) le mythe aryen.
Car la secte à l'origine du nazisme à Munich: l'ordre de Thulé était fondamentalement erigé par la mythologie de l'Atlantide et de l'Hyperborée. Ils avaient donc des pratiques religieuses même si le nazisme était principalement des pratiques de piraterie en réutilisant le symbole de la tête de mort en particulier sur la légion de protection les SS. Normalement, les gens auraient du tilter que seuls les morts réutilisent des symboles de ce type. C'est à dire que Adolf Hitler était mort depuis déjà bien longtemps. Et tuer un mort est difficile... On faisait face à un immortel, d'ailleurs il a disparu. On n'a jamais retrouvé son corps.
Le nazisme est très riche en symbolisme, les sociétés les plus totalitaires sont très liés à la cybernétique et donc des ancrages puissant en communication tel que l'utilisation de croix gammée, le christianisme fait la même chose, mais aussi l'Islam etc..., c'est à dire des modes d'asservissement en théorie de régulation et de la machine. Car ce mode de fonctionnement est nécessaire à toute entreprise de conquête comme point de rassemblement, la religion veut dire relier. Et la religion est une stratégie pour contrôler des territoires. A la base on y met un temple qui est une zone démilitarisé qui contrôle le temps comme sanctuaire. Le religieux est un maitre du temps, le plus proche de la divinité qui est intemporel = Eon. Au délà du concept on peut parler de singularité, de trous de ver, et de portail vers l'au-delà et d'autres monde dans le multivers. Dans les frontières extérieures du contrôle par le temple, il peut y avoir des affrontements et donc des guerres pour des territoires en particulier de l'hérésie.
Reparlons des sources du totalitarisme, à l'origine le cas des cathares:
L'inquisition contre les Cathares, menée par l'Église catholique à partir du 13e siècle, est souvent considérée comme une forme de répression autoritaire, mais la lier directement au totalitarisme moderne est un sujet complexe et controversé.
Contexte historique de l'Inquisition cathare :
Les Cathares étaient un mouvement religieux chrétien qui prônait une vision du christianisme différente de celle de l'Église catholique. Leurs doctrines étaient perçues comme hérétiques, et l'Église a répondu par une série d'actions répressives, notamment l'Inquisition médiévale et les croisades albigeoises, qui visaient à éradiquer l'hérésie.
L'Inquisition employait des méthodes de surveillance, de censure et de persécution, souvent violentes, pour réprimer les Cathares. Des tribunaux d'Inquisition étaient établis pour interroger et juger les hérétiques, et beaucoup furent condamnés à la mort ou à d'autres peines sévères.
Inquisition et totalitarisme :
Le totalitarisme moderne est un concept politique qui se réfère à des régimes comme ceux de l'Allemagne nazie, de l'Union soviétique stalinienne ou encore de la Chine maoïste, caractérisés par :
- Un contrôle total de l'État sur les individus.
- La répression de toute opposition politique et idéologique.
- L'utilisation massive de la propagande et de la surveillance.
- L'endoctrinement et la mobilisation de la population sous une idéologie unique.
Bien que l'Inquisition contre les Cathares partage certains traits autoritaires, tels que le contrôle des croyances et la répression violente de la dissidence, le totalitarisme moderne repose sur des mécanismes politiques beaucoup plus centralisés et technologiquement avancés, ainsi que sur une idéologie souvent fondée sur des mouvements de masse, ce qui n'était pas le cas du système de l'Église médiévale.
Différences clés :
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Idéologie et pouvoir centralisé : Le totalitarisme moderne est centré sur un État unique ou un parti avec une idéologie qui contrôle tous les aspects de la vie sociale, politique, et économique. L'Inquisition, bien qu'autoritaire, ne contrôlait pas l'ensemble de la société de la même manière ; elle se concentrait principalement sur les questions de foi et de dogme religieux.
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Technologie et propagande : Les régimes totalitaires modernes utilisent des moyens de surveillance de masse, des systèmes de propagande sophistiqués et des mécanismes d'État complexes, ce qui n'existait pas à l'époque médiévale. L'Inquisition, quant à elle, reposait davantage sur des méthodes plus simples comme la confession forcée, la torture, et les dénonciations.
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Objectifs : L'objectif de l'Inquisition était de maintenir l'orthodoxie religieuse et de préserver l'autorité de l'Église. Le totalitarisme, en revanche, cherche à remodeler toute la société sous une vision unifiée et souvent séculière (dans les cas du communisme ou du fascisme).
En résumé, l'Inquisition peut être considérée comme un modèle historique d'autoritarisme, mais elle ne possède pas tous les éléments caractéristiques des régimes totalitaires modernes qui sont plus complexe tel que le nazisme. Bien sur vous pouvez retrouvez du totalitarisme à l'heure actuelle dans les démocraties et leur mode de fonctionnement qui vire à l'hypocrisie pour contrôler la population dont la surveillance de masse. Mais pas seulement la démocratie à des ennemis, et ils assassinent des opposants également, mais généralement dans l'ombre sans faire de vague au risque de donner un aura, voir le problème de l'athéisme: fabriquer des martyrs religieux qui seront adulé avec des héritiers idéologiques. Il y a des stratégies pour réduire au silence et isolé.