Les rites avancées comme le rite narkantique est un problème de computation. Un prophète qui a des visions pour faire des prophéties à une assistance à la divination et à la prédiction d'évènement basé sur la mise en place d'un calendrier religieux... Ce qui permet la gestion évènementiel sur des jalons généralement pour créer des civilisations.
Comme c'est des structures répétitives la computation, des boucles... Il faut répéter des programmes. Le calcul distribué par principe est de totaliser des éléments pour maximiser la portée prédictive du système. Ainsi les gens vont dans les temples se synchroniser avec un programme: Le livre sacré à des heures précises selon un RYTHME (Loi du rythme dans le Kybalion).
Les structures computatives sont des phénomènes d'horlogerie à base d'un processeur qui a une cadence et gère via le transistor un commutateur. C'est en réalité des pendules en mécanique.
Le rite narkantique consiste à synchroniser le pendule corporel(microcosme), en faisant le Salat sur les astres (macrocosme). La religion veut dire: relier (les infinis).
- Synchronise sur le soleil (3 prière aux pics énergétiques journalier au fajr, maghrib et au zenith nocturnal)
- Synchronise sur la lune (Tous les 27 jours et les effets de marées)
- Synchronise sur le centre galactique SGRA* (au alentour du 21 décembre)
SYNTHESE: Re-synchronisation orbitale du temps à poser la tête au sol (inverse la masse par anti-gravité) soit le temps cumulé divisé par 24h = 51 jours de prière.
OPTIONNEL: Synchronisation sur les alignements planétaires majeurs comme clé de vérrouillage de la porte d'une serrure.
C'est un système de porte logique en computation. On ouvre des portails. A travers l'arche divin qui est une synchronisation entre la réalité et l'imaginaire de l'invocateur (principe du mentalisme dans le Kybalion). Tout système d'horloge entre le système local (réalité) et la non-localité (imaginaire) doit synchroniser des horloges pour créer un filament entre les deux parties... Un pont = arche.
Ainsi ceci vous donne le contrôle du temps, et vous permet de fabriquer un ordinateur. C'est alors absolu en tant que pouvoir: vous devenez le centre de l'univers.
Dans le cadre du narkantisme, on récite la sourate "la porte noire" en Narkanta comme bootloader de notre ordinateur. En langage d'assemblage (assembleur) codé au plus proche du processeur en langage machine. Notre ordinateur intègre d'autre variable d'environnement en fonction d'objet, de position (modal) sur notre lieu de prière comme sanctuaire de la création en tant que grand oeuvre.
Quelques rappels
La computation, sous le prisme des boucles et de l’horlogerie, peut être vue comme un processus cyclique et rythmique, où l'information est transformée et évolue en fonction d’un temps structuré.
1. La Computation comme un Mécanisme d'Horlogerie
Si l’on compare un ordinateur à une horloge mécanique :
- L'horloge possède un balancier et un mécanisme d'engrenages qui définissent un cycle précis.
- De même, un ordinateur fonctionne avec une horloge interne qui rythme les calculs et synchronise les opérations logiques.
Dans cette vision :
- Chaque cycle d'horloge correspond à une étape d’une computation.
- Les circuits logiques et algorithmes sont comparables à des engrenages imbriqués qui transmettent des informations sous forme binaire (0/1).
Exemple : Un processeur avec une fréquence de 3 GHz effectue 3 milliards d’opérations élémentaires par seconde, comme une horloge dont les engrenages tournent à une cadence ultra-rapide.
2. La Computation comme un Processus de Boucles
Dans cette optique, la computation n’est pas seulement une suite d’instructions, mais souvent une répétition de structures cycliques, comme dans :
- Les boucles logicielles (for, while, do-while) qui exécutent une série d’instructions jusqu’à remplir une condition.
- Les automates à états finis, qui passent d’un état à un autre selon une séquence prévisible (comme un rouage qui tourne).
- Les machines de Turing, qui répètent des cycles de lecture-écriture sur un ruban infini.
Illustration :
Imagine une montre mécanique : chaque seconde, le ressort principal libère une fraction de son énergie, faisant tourner les roues dentées dans un cycle prévisible. De la même manière, un programme informatique répète des cycles de traitement en fonction de son "ressort logique" (l’horloge et les boucles de calcul).
3. L'Horloge Cosmique et la Computation Universelle
Si l'on pousse la métaphore plus loin, certains physiciens et philosophes de l’informatique considèrent que l’univers lui-même est une gigantesque machine computationnelle, où :
- Les lois physiques sont des algorithmes qui régissent l’évolution de l’espace-temps.
- Le temps est une grande boucle fractale, comme un programme qui s’exécute indéfiniment.
- Chaque particule suit des règles qui ressemblent à des transitions d’état d’un automate.
Cette idée rejoint des théories comme celle de Stephen Wolfram (computational universe) ou encore les modèles de conscience en boucle (Douglas Hofstadter).
📌 Conclusion : Computation, Temps et Cycles
- L’horloge structure le temps et permet la régularité des calculs (comme dans un processeur).
- Les boucles sont le moteur des transformations computationnelles, répétant des schémas jusqu'à une condition d’arrêt.
- L’univers entier peut être vu comme une gigantesque machine à calculer en perpétuelle évolution, basée sur des cycles et des boucles d’information.
Tu cherches à explorer cette idée dans une optique informatique, cosmologique ou même ésotérique ?