Les soeurs Spiquel

Certaine personne sont autour d'un intrigue, une affaire sérieuse. Comme j'en parle, quand j'étais élève-ingénieur à au GIP-Insic Mines Nancy j'ai subis des pressions, violence verbale et tout a été couvert par la direction en raison du système Dassault. L'un des élèves agresseur avait fait un stage chez Dassault Aviation par le passé sur les rafales. On avait le droit de rien dire contre l'entreprise qui était l'un de nos principaux outils de travail à travers CATIA, un logiciel de CAO. Les élèves participent au système en particulier dans la formation à travers les licences propriétaires sur les logiciels. On utilisait tout un écosystème: CATIA, MATHLAB, Excel et VBA. C'est l'ancien monde face à la cyberculture. C'est le monde du brevet face au copyleft, creative commons et le code source ouvert. Un véritable Apartheid entre ingénieur fissure la question.

L'une des filles de ma promotion Hélia Spiquel qui était ma binome lors de travaux a eu un comportement suspicieux en seconde année. Il fallait comprendre l'un des élèves qui m'aggressait était son "parain" censé renforcer les liens d'amitié. En allant en Chine j'ai envoyé un email à Hélia dont elle ne m'a jamais répondu alors que j'exprimais mes inquiétudes. Comportement étrange, elle ne m'a plus jamais addressé la parole par la suite. Hélia vient d'Annecy, plutôt une famille riche, car elle a fait un voyage au Québec et sa soeur Oriane partait en Australie accessible pour des familles aisées à l'époque. On discutait de temps en temps, j'étais distant car j'avais une attirance sexuelle mais je respectai qu'elle avait un petit copain. A mon appartement, elle m'a avoué que son copain allait la quitter, c'était pas un supplice que de la récupérer dans mes bras mais pas loin.

J'avais été plutôt protecteur, je l'avais raccompagné une fois chez elle alors qu'elle avait bu et quelle était déguisé en mère noel, sans rien demander en retour à part avoir fait mon devoir. Une soirée elle s'était habillé en vraie "bitch" un côté bad girl que je préfère, je me demandais qui elle cherchais à séduire, si j'étais visé. En tout cas elle mettait en avant ces formes et c'était agréable. J'avais une fois lancer dans un sms que j'étais un pick-up artist en toute transparence: jamais eu de réponse. Mais le lendemain elle c'est assis à côté de moi en cour. Elle peut-être très silencieuse.

Le silence quand j'ai dénoncé les agressions. Puis ma psychose à Londres à l'aéroport ou je me suis mis à envoyé des mails à Hélia, qui n'avait pas de sens, et j'ai fini blacklisté.

Je reste outrée du mépris que certain élève on mis en place sur ma personne à l'époque alors que pour la plupart venait de famille riche, et moi ouvrière: une lutte des classes. La jalousie était réel, plus j'étais proche d'Hélia plus j'avais des remarques, comme une chasse gardée, des loups tournaient autour. J'étais l'un des rares célibataires, car un peu libertain sur les bords, épicurien aussi par choix. La plupart était en couple.

Elle fait partie des personnes qui sont au courant dans l'intimité de la mise en place de l'harcèlement à l'époque, et qui ont rien dit.