Beaucoup ne savent pas, mais j'ai plusieurs fois pensée appeler la maltraitance pour l'enfance. Je n'ai jamais fait le pas car j'étais terrorisé à l'idée de quitter ma famille et mes amis si j'étais placer ailleurs. Patrice mon père etait violent psychologiquement avec ma mère Nathalie, il ne la frappait pas mais etaient parfois traité de tous les noms. Et il etait également dur avec moi. J'avais trouvé la méthode pour le calmer en faisant se qu'il voulait c'est à dire du cyclisme, cela le calmait.
Patrice ne supporte pas que l'on aille contre lui ou que l'on contredise se qu'il dit, il ne supporte pas le "non". Et cela dégénère vite. Il est violent verbalement et impulsif, une fois durant ma jeunesse pour une histoire d'erreur des impots à la maison il a commencer à gueuler qu'il allait prendre la carabine et tuer tous le monde. Je m'en souviens j'avais 10 ans. Cela m'a marqué et j'ai forcément penser appeler quelqu'un. Je me refugiait régulièrement chez mes grands-parents pour éviter à avoir trop affaire à Patrice. Je le fuyait.
Malheureusement je n'avais pas beaucoup de moyen de fuite dans ma jeunesse. Ma mère incapable de ce prendre en charge avec la maladie et la dépression à fini alité chez son père et la torture psychologique de Patrice a joué énormement, cassant son moral. De mon côté si je quittais Patrice en me plaignant aux services sociaux, je ne savais pas qui allait me prendre en charge, peut-être mon grand-père maternel, mais, j'avais peur du placement et quitter mon environnement. Donc je ne me suis jamais plains sur les violences conjugales et psychologique de l'enfance, car Patrice était quelqu'un de sadique et prend du plaisir dans la souffrance des autres pour ce valoriser lui même.
Je me rappel d'une fois, c'était n'importe quoi et j'ai participé à ce lynchage car j'étais jeune et un peu stupide, une sortie de cyclisme avec un collègue de travail de Patrice, il etait gros et n'avancais pas vite, Patrice n'a fait que ce moquer de lui durant tout le trajet. C'était sa manière de faire, rien de gratifiant.
Il y a un complexe de supériorité parfois chez les cyclistes car considéré comme le sport le plus difficile et des dure aux mal, parfois jusqu'au masochisme dans le milieu.
Malheureusement je me suis encore pris la tête avec Patrice, encore des tensions, aucune excuse ils ne se remets jamais en question, et cela me fatigue, donc je prends mes distances. Je suis autonome avec les minimas sociaux comme l'AAH. Ils se moquent parfois de ma maladie psychique et considère comme juste des crises d'humeur et que cela n'empêche pas de travailler, et que l'accès à l'emploi est plus difficile.
Il n'a aucun intérêt dans mes activités. Quand je discute, les jeux-videos, le trekking, ou l'écriture de roman il s'en tape. Aucune écoute ou empathie à part sa personne et ces propres intérêts tels que le cyclisme ou du trail en se moment, les autres ne sont que des moins que rien. Et ce qui me dérange le plus, c'est qu'il prenne du plaisir dans ma misère sociale.