Mon apprentissage de l'entrepreneuriat

Pour bien commencer cette introspection, il faut ce fixer comme Mantra:

"L'échec est une hypothèse de travail" - La banqueroute est possible, en fonction des risques calculés. Tous le monde ne devient pas entrepreneur car la plupart des gens préfère la sécurité de l'emploi. J'ai développé une stratégie avec le temps et l'expérience. Tout d'abord même si l'argent est le nerf de la guerre, on peut partir de rien. Trouver de l'argent fait partie des compétences de l'entrepreneur, mais il n'est pas forcémement nécessaire d'avoir un apport initial important pour créer son entreprise, on peut commencer avec juste un ordinateur personnel comme bien matériel.

Dès l'idée de créer une entreprise il faut avoir une hygiène de vie et préparer des routines. L'entrepreneur ne compte pas ces heures, il faut jongler entre des activités de loisirs pour reposer l'esprit à de la formation continue pour apprendre des compétences manquantes au projet, à la gestion et réalisation. Apprendre à apprendre est une aptitude importante.

Le diplôme n'a pas d'importance véritablement à part qu'il permet d'avoir des compétences initiales. En fonction de l'école on peut s'intégrer dans des réseaux, mais parfois le marché visé n'a rien à voir avec. Les contacts ouvrent des portes, c'est juste des opportunités à saisir ou pas.

On peut s'accorder sur un fait en commun parmis les entrepreneurs est une part importante dédié à la connaissance, le pouvoir par le savoir dans de multiples disciplines que cela soit la gestion et la finance, marketing, aux technologies, sciences pour générer des idées. Avoir des compétences dans le renseignement pour prendre des décisions stratégiques à partir de DATA. Automatiser la diffusion de l'information pour les parties prenantes en sachant que l'impact est systémique. L'entrepreneur est ancrée dans l'économie de la connaissance qui permet d'améliorer les moyens de production.

Avoir des exemples de réussite et comprendre ce qui motive les entrepreneurs, un autre point commun il faut ce mettre à lire, et partager ces lectures tel que le fait des figures comme Elon Musk ou Bill Gates. Dédier un temps pour la lecture est primordiale, il ne faut pas négliger les petites habitudes: créer un club de lecture comme le créateur de Facebook n'est pas stupide. Lire 30 pages par jours cela fait 27 livres de 400 pages / an sur des thématiques qui vous plaisent et permettre votre développement. Il faut êre un assoiffé pour trouver de l'information et générer de la créativité, il y a d'autres méthodes tels que le Jeux Videos en particulier le Serious Gaming dont j'en parle à l'apprentissage de la gestion d'entreprise avec EVE Online. 

Il y a des livres classiques sur l'entrepreneuriat, qui traite de sujet tels que la liberté financière ou le marketing conseillé dans les écoles de commerces, mais aussi apprendre à appliquer de la stratégie militaire dans le contexte de la guerre économique. Savoir ou vous metttez les pieds et ces règles du libéralisme et l'économie, et comment les mettre à profit.

Dans les autres livres que je possède que je considère comme essentiel dans le métier d'entrepreneur:

Je me suis specialisé très tôt dans le coaching motivationnel dès que je suis parti en Australie avec des mentors en communication et séduction. Cela m'a permis de vaincre des résistances, de sortir de ma zone de confort et faire des rencontres. Il y a Tony Robbins qui m'a initié aux bases de la PNL(programmation neuro-linguistique) puis j'ai approfondi pour appliquer en communication avec les maitres en la matière tel que Richard Bandler, puis en séduction moderne avec Neil Strauss biographe de Marylin Manson. Ces lectures sont éssentiels dans ma façon de percevoir les interactions sociales et le monde. 

Rien n'est véritablement possible sans apprendre à coder que cela soit pour créer un site comme portfolio, blog ou d'e-commerce. Savoir utiliser des scripts et des algorithmes pour analyser des DATA. Aller encore plus loin et prototyper un produit en virtualisant sur un serveur. On se rend vite compte que les hackers ont un impact important dans la vie numérique. Le logiciel libre est la fondation de l'open source qui soutient l'économie numérique de nos jours. J'ai monté mon premier serveur Linux en 2012. J'ai mis les mains dans le cambuit en y retirant de l'expérience. J'ai adopté Arch Linux à la même époque après avoir été sous Ubuntu durant des années. Je me suis mis à la cybersécurité, acheté mes premiers bitcoins. C'est un processus qui prend du temps.

J'ai écouté le marché, je me suis informé en analysant les signaux faibles. J'ai vu passé des tendances tels que le minage d'astéroide, l'arrivée de RISC-V,machine learning, l'impression 3D et la Rep Rap. La diffusion des Fablabs mais aussi des tendances en entreprises comme l'open data et l'innovation tels que l'Extreme Manufacturing de Joe Justice sur l'avion de chasse Gripen de SAAB. Cela m'a formé une idée. Comme un schéma qui s'assemble.

Ainsi Alpharatz et son échec en tant que consultant indépendant de 2013-2015 devait évoluer pour maitriser d'abord l'informatique et contrôler des briques de compétence nécessaire pour les systèmes embarqués et la conception de futur drone spatial pour du fret dans le minage. Un pas de plus vers l'économie de l'abondance qui me parait un but louable. J'ai donc analyser le besoin et considérer que l'entreprise devait maitriser en informatique:

  • Développement du noyau pour du Linux embarqué
  • Le noyau de modélisation géométrique pour la conception et évoluer vers du collaboratif
  • Les moteurs de jeux-vidéos pour simuler le système planétaire et intégrer les flux de fret.

Je suis arrivé à ce point en lançant le projet Qasari qui est pour l'instant virtuel sur un repo Github et l'achat d'un nom de domaine. J'ai le site à faire comme fond d'investissement d'une DAO. Je dois me former sur des compétences plus particulièrement de la programmation en C/C++. J'en suis là après mon petit bout de chemin.

Je néglige pas le salariat car j'ai besoin d'un apport et de fond de roulement pour faire tourner un cabinet de consultant d'une futur SS2I/ESN dans le logiciel libre. Et donc parfois je troll avec mon CV des entreprises Brestoises en espérant que le RH tombe dessus. Je suis un vrai farceur. J'ai la surprise facile.