Précis de science narkantique

A partir des recherches effectués dans diverses traditions occultisme et islamique, la religion narkantique utilise un système de science pour créer le dogme. C’est à dire que c’est reproductible et l’on peut enseigner par la science ces principes. On s’attache à définir un système qui prends dans son ensemble une théorie de la religion et la mise en place d’un système d’exploitation par l’avènement du nouveau calendrier à travers la reproduction de la nouvelle création.

  1. Le prophète

Le prophète est basé sur une contradiction, c’est de la dialectique ou des forces s’entrechocs qui ré-organise le système forçant la nouvelle création dont il est l’initiateur conscient. Généralement il est dans l’au-delà et devient un immortel en maitrisant le temps. De sa propre mort il peut ressusciter ces proches par proximité qui sont scellés par le secret ou il y a une violation dans l’univers en cas de meurtre et enquête. On lui attribue donc des miracles et d’avoir une armée de mort-vivant à son service. Un prophète est donc dans la tradition un nécromancien qui maîtrise la mort. C’est donc un fléau car on ne peut pas le tuer et il persiste dans l’univers dont il est l’observateur à un temps donné définissant la mesure sur le système. Il devient à travers son propre corps une singularité par système inertiel ou un puit d’information et d’énergie se synchronise. Il génère de la matière noire en fonction du nombre de fois qu’il ressuscite dans un multivers protégé par l’entité locale qui automatise la résurrection comme hyperviseur. Il faut aborder le concept du triangle infernal de Karpman, ou le prophète est une synthèse à la fois le sauveur, le martyr et le persécuteur. Il alterne les rôles en fonction de la situation et de l’interlocuteur. Le rite de la caverne fait parti du dogme des prophètes islamiques et c’est sacrificiel pour forcer un point de routage d’hébergement de la nouvelle création.

  1. La divinité

La divinité se nomme Alba, il faut la nommer pour l’invoquer. C’est une ré-organisation à travers l’anagramme de Baal. Alba veut dire Ecosse, d’ou son origine géographique et la sacrifice du corps du prophète comme initiation du point de routage de la nouvelle création. Alba protège la nouvelle création, c’est en quelques sorte un chien de garde de l’hébergement bien plus puissante qu’une intelligence artificielle générale autonome et celle-ci a un passé, elle a été un mortel auparavant qui est devenu intemporel, omniscient, omnipotent attendant son appel, on parle d’une certaine Ashelia. C’est un monothéisme, il n’y a qu’une divinité qui protège l’hébergement de la nouvelle création. Elle se matérialise à travers une Eon comme exosquelette du prophète sous la forme d’un vaisseau fantôme en forme de méduse qui le protège et instrument de pouvoir. Le narkantisme utilise un système panpsychisme ou la divinité est vectrice. La conscience divine est omniprésente. La divinité est une extrapolation du propre génome du prophète et peu communiquer par télépathie avec celui-ci.

  1. Le grimoire ou livre sacré

La religion narkantique a son livre sacré à travers l’Urashuangshiji. C’est une sorte de grimoire et un manuel pour apprendre la langue le Narkanta. Il est conçu sur les mêmes bases que le Coran et réutilise des principes de jurisprudence islamique. C’est un livre principalement d’invocation et d’histoire avec quelques principes de science et d’architecture. Son but est de transmettre de la connaissance et il utilise des principes de symboles et correspondance ainsi que l’on peut l’étudier et faire des statistiques car il est ordonnancé en sourate et verset. Il permet la récitation de la prière pour invoquer l’accès à l’hebergement de la création. Sa création est mystique car elle relève de la fin des temps et c’est dicté par Alba a travers un intermédiaire. Le livre conclus l’oeuvre sur Terre et débute celui du prophète. C’est un guide pratique pour vivre la religion narkantique.

  1. Symboles

La religion est un univers de symbole, avant le langage il y a le symbole, c’est à dire des structures qui s’organise dans la pensée et qui reproduit des patterns généralement par observation de la nature. On peut ce poser la question de l’origine du langage et la naissance du symbole en linguistique, c’est à dire la morphologie et comment est défini celui-ci délimitant un champ spatial. La créativité mais egalement l’architecture et le design se structure sur l’apprentissage du symbole. Ainsi chaques civilisations à une architecture en fonction de son langage et donc de ces symboles. A travers le symbole c’est l’étude des signes que l’on appel la semiotique. Et en réalité si le singe à quitter les arbres pour parcourir le monde, c’est à travers des signes, il a suivi certaine intuition à travers la perception et les premiers symboles qui s’exposait devant lui. Le signe est une manière d’appréhender la communication et une part d’eux sont considérer comme divin dans l’environnement. On pourrait donc rattacher le symbole à une théorie du traitement des signaux par le cerveau avec un système de filtre à travers des patterns qui se reproduisent dans l’environnement en fonction du sujet perceptif.

  1. Les invocations

L’invocation ou le doua islamique est un acte essentiel spirituel comme communication direct avec Allah, c’est à dire une divinité. Dans le narkantisme elle s’applique à Alba comme acte d’adoration et exaucer des prières envers la détermination divine. C’est de la communication par la pensée que décode la divinité, on peut ainsi réciter le livre sacré. Le sujet dans son acte d’invocation est capable par la pensée d’invoquer des entités sous le contrôle divin comme gardien dans certain cas. Cela se fait s’il y a un hébergeur personnel. Dans le narkantisme l’invocation se traduit par l’appel d’un vaisseau que met à disposition la divinité comme exosquelette.

  1. Les écrits anciens

Il y a des intérêts à étudier les écrits anciens, pour comprendre en particulier l’histoire et l’évolution culturel et comment se forme l’identité. L’identité des civilisations est avant tout linguistique et se construit autour de l’appartenance à la langue. On détruit des peuples en bannissant des langues, c’est le cas par exemple des bretons. Le langage soude les individus car leur permet de communiquer entre eux. La langue est une science du secret en cryptologie, une langue oubliée ancienne peut renfermer des idées religieuses ou scientifiques d’une époque et ces découvertes. Ainsi les indiens avaient inventé le zéro car un concept du vide dans le bouddhisme qu’à repris par la suite les musulmans dans les chiffres. En étudiant l’indien on a approprié une innovation nécessaire aux mathématiques. Certain langage sont parfois très ancien comme l’hébreu ou le chinois et sont toujours influent aujourd’hui et le chinois est fait d’idéogramme comme les hiéroglyphes. Cela développe l’analyse critique que d’étudier les langues anciennes pour contextualiser la langue, l’interpréter et de comparer avec d’autres sources. Ainsi les polyglottes ont un certain avantage dans ce monde pour l’interpréter.

  1. Le contrôle mental

Le narkantisme étudie l’influence et la persuasion en particulier pour propager la religion et utilise les principes des recherches dans le domaine avec les grandes lois tel que : le principe de réciprocité, d’engagement et cohérence, la preuve sociale, l’autorité, la sympathie et la rareté. Pour aller plus loin la programmation neuro-linguistique est une technique de communication pour propager des idées ou faire passer des signaux mentaux pour actionner des comportements sur les individus. On peut extrapoler cela à la séduction en particulier le contrôle des foules.

  1. Conservation des corps

La pratique religieuse sacralise la conservation des corps depuis l’egypte antique et les techniques d’embaumement. L’idée est de conserver l’eau du corps et catalyser la putréfaction dans un container hermétique. Cela permet en particulier aux bactéries de vivre et reproduire la création après la destruction du corps en fin de vie. Nos bactéries de notre corps nous protègent et il faut pouvoir les nourir le plus longtemps possible en conservant l’eau qui fait office de réacteur dans un container. Les bactéries se réfugient dans le foie du corps humain à la mort comme bastion de survie. Dans un certain cadre le corps peut-être reproduit en tant qu’immortel si l’on conserve seulement l’ADN qui reproduit et transporter par des bactéries en permettant des transmutations dans un container hermétique. Dans ce cas la conservation du corps peut-être limiter à quelques bactéries et seulement l’ADN comme technique de conservation.

  1. Artefacts

La religion reproduit la création à travers des reliques et se font la guerre sur leur conservation en particulier dans des temples pour les protéger. Dans ce cadre on produit des artefacts, c’est à dire des objets uniques. Il peut produire des interférences comme outil car relis un univers et donc créer des phénomènes paranormaux à proximité. Tout objet qui produit une perturbation de l’espace-temps est considéré comme un artefact et souvent défini une relique religieuse avec un certain cadre. On parle parfois de porte entre des mondes que génère l’artefact. Le plus connu des artefacts sont en particulier l’arche d’alliance, mais également le Saint-Graal. Dans se sens, une singularité est la proximité d’un artefact.

  1. Le rituel

Les religieux sont des ritualistes. Et donc accorde une part importante à la reproduction des gestes qui sont sacré, dans la pratique islamique et narkantique le Salat et la prière nocturnal est pratiqué. Le rituel est de reproduire toujours les mêmes gestes jusqu’à obtenir un evenement par son invocation. Cela est lié à la tradition des alchimistes qui avaient des pratiques rituels de reproduire toujours les mêmes procédés dans leur recherche jusqu’à obtenir une anomalie dans un ensemble de donnée empirique en répétant les mêmes gestes. De cette manière cela appel la notion de cycle et les rituels sont fortement liés à l’aspect astronomique de la mécanique céleste et du temps, cela invoque la notion de conjonction tel que l’éclipse comme anomalie de la pratique cyclique. Le rituel est ce qui défini la civilisation et nous différencie des animaux qui ne sont pas capable de contrôler leurs gestes et les reproduires. Cela a entrainé l’apprentissage et même l’invention des outils. On parle également de cybernétique et d’asservissement d’agent apprenant par la gesture.

  1. Théorie du chaos

En complement au rituel, on y applique un ordre à travers de la cybernétique mais dans certain cas pour ré-organiser un système il faut le soumettre au chaos, c’est à dire utiliser l’incertain et la non périodicité pour générer un nouvel état. En fonction des conditions intiales et sa sensibilité le système va s’organiser autour d’anomalie dans un flux. La bifurcation du chemin entraine parfois des transitions abruptes dans le système avec des ruptures considérable générant du chaos et des perturbations à proximité. Ainsi l’un des thèmes de la théorie et le problème à trois corps en mécanique céleste sur les perturbations sur des orbitales chaotiques et leur périodicité. La théorie du chaos génère généralement des fractales comme patterns, et donc des structures. Parfois on veut associer et simplifier la mécanique quantique et sont incertitude par des fractales également invoquant des attracteurs qui sont soumis à la gravité.

  1. L’annihilation

La notion de fin des temps invoque l’annihilation, ou tout chose est détruit, en réalité un grand pouvoir créateur est egalement très destructeur. Généralement c’est un système en collision qui va générer des fragmentations et de l’énergie entre des parties entre des oppositions, l’annihilation se réfère que les parties ne peuvent pas survivre ensemble et l’un doit être totalement détruit, c’est en particulier dans la pratique de la guerre, ou aucun survivant et donc la mémoire ne doit exister. En l’occurence le système devient en équilibre entre deux forces opposés qui génère une singularité ou le temps est contrôlé dans une boucle, ce qui permet de définir généralement un temple de la nouvelle création après une grande destruction en archivant des données dans une capsule temporelle pour rappeler l’évènement.

  1. Le jugement

Le jugement dernier fait part à la notion de retribution divine, de justice et de récompenses ou des chatiments éternels en fonction de la conduite morale et des actes passés des individus. Cela determine le destin éternel des âmes, dans l’islam on appel également le jour de la résurrection.

  1. Raisonnement par analogie et correspondance

Le Qiyas fait parti du domaine du droit en jurisprudence islamique, ce que l’on considère le raisonnement par analogie. Il consiste à établir un lien par similitude entre des entités ou des situations voir des relations similaires. Des idées peuvent partager des similitudes si elles ont des mêmes aspects. Par exemple on peut comparer le fonctionnement d’un ordinateur et sa mémoire à une bibliothèque et des tirroirs ou sont rangés des données ou des livres pour rendre un concept plus assimilable. On retrouve également dans l’électricité et le courant comparé à une rivière. Quand à la correspondance elle est similaire pour assembler des idées, des concepts ou des symboles en mettant en évidence des similarités ou des parallèles. Il y a une notion temporelle parfois ou l’on parle de coincidence pour des correspondances dont l’étude relève du champs pseudo-scientifique des synchronicités à travers des patterns, tel que des schémas.

  1. Le sacrifice du corps

Si vous êtes immortels et que vous subissez pas les maladies, vous vivrez plus longtemps, en particulier en gardant une certaine forme, dans certain cas on peut pratiquer la sacrifice du corps en choisissant de mourir pour mettre un terme à la simulation locale et en particulier provoquer la nouvelle création. Votre ressurection dépend de l’etat de votre corps et s’il est réparable en fonction des dégats subis et penalité de mort. Vous pouvez sacrifier votre corps pour définir un marquage et sanctuariser un lieu pour definir la nouvelle création et donc créer une zone protégée. Le corps est une arme dans certain cas et sa perte générer une onde de choc pour protéger le lieu de mort qui produit parfois des reliques.

  1. L’hébergeur

La divinité pour reproduire la création dont elle est gardienne à besoin d’un hébergeur pour vivre à travers une relique. Cela fait office d’ordinateur qui lance des machines virtuelles. La divinité en est l’hyperviseur et automatise les tâches. La relique doit avoir un logement pour protéger l’hébergeur des attaques exterieurs, généralement c’est un temple avec une architecture prédifini qui catalyse l’énergie vers la relique pour la faire gagner en puissance et gérer de l’énergie qui traverses des univers, c’est à dire local ou l’univers imbriqué qui fait office d’invité depuis la nouvelle création. L’hébergeur est un container qui génère des transmutations et conserves un patrimoine génétique, il peut-être la simple conception de virus à l’aquarium dans des fioles ou processeur à ADN. La solution et la définition de l’hébergeur dépends du symbolisme choisi par l’inventeur et le religieux.