Problème à la création de langage

Comme on le rappel la cryptologie est considéré comme une arme de guerre. Le langage n'est pas simplement un outil de geek, il y a d'excellent livre référence pour inventer des langagues (en anglais) tel que "The Art of Language Invention: From Horse-Lords to Dark Elves to Sand Worms, the Words Behind World-Building" de David J.Perterson. La communauté des gens qui inventent des langues s'appel des conlangers. Vous trouverez également le livre "The language construction Kitlet".

La plupart des gens inventent le domaine dont ils ont expérience et ne s'intéresse pas forcément à des langages exotiques. C'est à dire que la plupart vont adapter de leur propre langue un nouveau langage juste en remplaçant la graphie de l'alphabet. C'est un bête ré-encodage par substitution. Créer un langage à partir de l'alphabet est relativement simple. C'est en gros une table de Rosette que de posséder le code par substitution de l'alphabet. Ce qui est en terme de cryptographie un niveau faible de protection, même si c'est mieux que rien.

Une stratégie est d'inventer une grammaire spécifique complexe pour former des phrases limitant l'accès à la langue et sa compréhension en donnant des règles de construction linguistique un peu alambiqué: c'est ce qu'à fait Tolkien avec le Quenya pour l'elfique, mais cela reste un langage basé sur l'alphabet.

Là ou cela devient intéressant, c'est dans la construction de règle de langue de type assembleur. Généralement basé sur des idéogrammes. La plupart des gens ne se lancent pas dans ces langues car il faut inventer un dictionnaire. Autant un alphabet est simple, il faut que quelques symboles, environ 20. Autant les langues de type assembleur est spécifique avec des mots que l'on invoque. Elles sont supérieur aux langues alphabétiques dans les rêgles créatrices car plus proche des langages machines.

En faite un idéogramme est un mnémonique, c'est un dire un code par un symbole qui aide l'utilisateur à ce rappeler, un souvenir de la signification de celui-ci, on y attache une représentation. Généralement il faut une règle ménomique par idée différente, ce qui fait comment choisir les premiers mots du dictionnaire?

Il faut 300 mots pour commencer à parler une langue donc tous les langage par idéogramme doivent appliquer cette règle et générer tel que les clé du mandarin 214 mots différents dont dérive les autres. Dans le Narkanta il y 600 clés glyphiques dans le dictionnaire usuel standard.

A l'instar d'une langue alphabetique, il faut posséder tout le dictionnaire pour parler la langue, l'effort pour son apprentissage est bien plus complexe, limitant l'accès. On le voit en occident, les gens apprennent rarement le chinois, considéré comme trop complexe, et trop éloigné de l'alphabet latin. Ce qui fait que la Chine est protégée de l'invasion culturel par la langue comme facteur d'intégration. Il y a peu d'occidentaux qui vivent en Chine car rare sont ceux qui parle la langue. C'est un filtre.

Je l'avais expliquée, la règle des machines de Turing est basée sur une liste de symbole courte d'un alphabet, si votre langue n'applique pas cette règle tel qu'un langage de type assembleur et qu'en plus on peut inventer des symboles, les machines ne peuvent plus prédire par le langage. C'est tout bête mais si on ne peut pas interfacer un clavier, votre langue est resistant aux machines.