Il est nécessaire de tordre le cou aux idées reçus, être entrepreneur ne se construit pas dans les grandes écoles. Les étudiants sont la plupart des frileux qui ont appris à travailler de manière scolaire pour être des futurs cadres, ils font de bon employés qui recherche avant tout la sécurité de l'emploi là ou l'innovation demande une certaine prise de risque. Ils espèrent faire carrière pour des postes de hauts dirigeants dans des multinationales pour certain. Les écoles positionnent des partenariats avec les entreprises pour les préparer à rentrer en poste. Seulement 0,5% des étudiants diplomés de grandes écoles créer une entreprise.
Quand je pense entrepreneuriat à mon sens c'est créer un empire et devenir une pouponnière à milliardaire. Quand vous êtes en grandes écoles et vous dites que vous allez créer un empire et devenir milliardaire on vous prendra pour un fou voir un rêveur. Car statistiquement en France on ne fabrique plus de milliardaire, la plupart son des héritiers. Mon approche de création d'entreprise c'est embarqué avec moi une communauté pour élever le niveau de prospérité. Créer de la richesse n'est pas une approche purement individuelle dans un projet industriel, cela ce planifie sur des générations. Il faut éduquer tels que dans mon cas de passer d'une famille d'ouvrier rurale pour devenir des commerçants et hommes d'affaires, et cela demande des bases dans un nombre important de domaine, souvent en autodidacte: ingénierie, finance, marketing, stratégie d'entreprise, intelligence économique. Cela demande de quitter sa zone de confort, de prendre des risques et aimer découvrir de nouvelle chose, on s'arrête jamais d'apprendre.
L'un des piliers pour former les entrepreneurs est d'organiser un club de lecture, cela parait bête mais partager ces découvertes de lectures en lien avec l'activité économique pour former une tête bien rempli capable de sortir des chiffres et des tendances sur les secteurs ou des trouvailles pour s'enrichir et élever la communauté apprenante. Il faut créer des communs et faire de la gestion de connaissance en amont à tout projet d'empire industriel. Il faudra incuber des startups, des fonds d'investissement, des associations voir des fondations philanthropiques.
Savoir trouver et analyser de l'information est de nos jours essentiels pour prendre des décisions. Aujourd'hui l'aide à la décision pour les dirigeants se tourne vers la recherche opérationnelle et l'intelligence artificielle pour le traitement des masses de données.
La pierre angulaire à tout homme d'affaire, c'est la DATA. Savoir créer de la valeur à partir d'une information et prendre une décision pour élaborer des accords commerciaux ou une stratégie. Ainsi savoir coder pour traiter l'information s'apprend très jeune. Nous vivons dans un monde concurrentiel, et protéger ces DATA pour garder une longueur d'avance ou un avantage fait partie de la règle dans le business. Il faut donc avoir une politique active de cyberdéfense pour réduire l'espionnage économique ou le vol d'information.
Tout ça implique une forte culture numérique, si j'utilise Arch Linux avec un disque dur chiffré et des container Veracrypt pour mes informations confidentiels, c'est pour protéger un avantage, des personnes ou des découvertes. Arch Linux me permet d'optimiser l'utilisation des programmes et des services inutiles, c'est une politique d'assainissement pour récupérer le contrôle sur l'outil informatique. Il est possible aujourd'hui d'utiliser les logiciels libres pour un ordinateur orienté business. Linux est réputé pour être optimisé pour le workflow des outils de développement et ingénierie logicielle et web. C'est appartenir à la communauté de l'open source et son écosystème en adhérent aux valeurs de partages de l'héritage des hackers depuis GNU. Le logiciel libre soutiens l'économie numérique, c'est les fondations de l'architecture, à la source de la technique.
On le répète souvent mais l'entrepreneuriat rime avec une approche de l'incertitude. Le monde est en mouvement, récolter, analyser et transmettre de l'information permet d'avoir un avantage concurrentiel. Ainsi ils faut être à l'écoute du marché et ces signaux faibles pour ouvrir des nouvelles opportunités de business. Rappelez-vous Henri Ford n'a jamais été plus au début qu'un apprenti dans un atelier d'usinage de fer. Les opportunités sont partout à qui décide de ce mettre en mouvement. L'entrepreneuse chinoise Zhou Qunfei a commencé ouvrière à l'usine puis à lancer son entreprise avec 3000$. Il en faut peu, c'est totalement faux de croire que les créateurs d'entreprises utilisent beaucoup d'argent pour lancer leur business.
Savoir ce relever de ces échecs, ont apprend de nos erreurs, celui qui n'ose pas ne fait jamais d'erreur. On a le droit d'experimenter, innover n'est pas réduit à un chemin tout tracé qui suffit de suivre un business plan. Vous pouvez être ruiné, ce n'est pas grave, vous ne pouvez pas tomber plus bas, le temps efface les peines, cela fait un peu mal au début mais tout est temporaire. Prenez des risques jusqu'à en perdre la tête si il le faut, soyez insatiable, détruisez et créer de la valeur ne resté jamais sur des acquis, c'est le nid de l'incompétence et de la oisiveté.
La relation avec les investisseurs, VC, business angel, mentoring. Créer votre réseau ou chacun y trouve quelques chose à en tirer que cela soit un profit ou un avantage ou juste un réseau d'apprenant. N'ayez pas peur de vous enrichir et élaborer des liens entre les parties prenantes de vos projets. Osez! faites des approches même sur les fonds souverains d'un état pour lancer votre entreprise, vous devez vous positionner en conciliateur et ouvrir la porte pour des partenariats stratégiques. La diplomatie est donc de rigueur, soyez un ambassadeur de vos valeurs et faites le savoir. Valoriser l'interaction sociale.
Le capitalisme ne doit pas être un mot grossier, le profit est signe de la bonne santé d'une entreprise. La richesse permet l'investissement, devenir riche c'est pouvoir avoir de l'influence et mener une politique d'apporter du changement dans ce monde. Nous ne sommes pas obliger de toujours subir et ce laisser aller au gré des évènements. L'entrepreneuriat ce passe dans l'action, agir est nécessaire.
On peut vouloir changer l'économie vers plus d'abondance, réduire les inégalités, rechercher la prospérité pour un groupe de gens et sécuriser l'avenir pour des générations. Ce que nous entreprenons, chaque pierres fait parti d'un vaste plan, notre agenda. Demain une nouvelle rencontre, une nouvelle opportunité qui décidera de la richesse ou de l'échec, parfois c'est un mot qui change tout, un comportement que l'on se rappel de vous. Marquez les esprits.
Recherchez la science! Ayez une curiosité pour le progrès scientifique et investissez dans des projets de recherche et développement pour voir émerger des marchés ou créer la rupture technologique avec vos équipes. Soyez au courant des toutes dernières avancées technologiques pour vous positionner dessus, n'ayez pas peur de la controverse. Même Google à fait de la recherche sur les LENR, sans résultats, mais il fallait oser et mettre des moyens à disposition malgré la controverse scientifique.
L'innovation est tellement rapide que les compétences sont souvent obsolète au bout de quelques temps dans une entreprise ainsi que l'information dépassé, être à jour par la formation et la circulation de l'information est un business conséquent dans une économie numérique mondialisée.
Dites vous que vous donner des emplois au gens, qui espérons le seront satisfait au travail, l'économie change dans le milieu industriel avec l'industrie 4.0 et la robotisation, l'humain disparait des tâches que l'on peut automatiser, oublier la main d'oeuvre bon marché, c'est fini cette époque de l'exploitation, nous changeons de monde, il faut avoir un temps d'avance.
Je suis complètement outragé que en France on parle de réindustrialisation en espérant créer de l'emploi ouvrier. Cela n'arrivera jamais en plus la masse salariale d'un point de vue politique serait plus vers les communistes, c'est de la poudre aux yeux, le gouvernement français est bien content d'avoir délocalisé la production en Chine particulièrement ou l'ouvrier vote le parti communiste. Le politique est bien souvent un ennemi des entrepreneurs, plus vous les gardez loin mieux on ce porte. L'intérêt de l'Etat n'est pas forcément celui de l'entrepreneur car vous pourrez faire concurrence ou lancer des OPA sur des entreprises ou l'état est actionnaire. Celui-ci est bien souvent dépasser par les évènements et défend des intérêts nationaux qui ne peuvent convenir dans une économie mondialisée. Pensez-y.