Réflexion sur l'éthique de la piraterie

L’éthique de la piraterie prend naissance dans le capitalisme, dans le sens quel est un pouvoir nécessaire à consolider la sécurité des biens et services. A la racine de la réflexion d’Adam Smith, le travail est la source de la richesse. Pour faire face aux monopoles de production de la richesse et donc à l’opulence source de conflit et de guerre, pour contre balancer les excès du capital il est nécessaire d’intégrer la distribution de cette richesse. La piraterie va apparaître dans le cas de la distribution. Pour cela des moyens sont mis en place pour permettre cette distribution par la création de commun public de méthode de travail et de création de richesse.

La source du travail est la découpe en tâche répétitive par la discipline dans le temps de la mise en place d’un stratagème selon un algorithme de fonctionnement qui est réutilisable. C’est l’intégration d’un système de transformation d’un flux d’information, de matière ou d’énergie donnant naissance à la cybernétique. Cela inclus la régulation ou le feedback dans un système tel que la production d’une marchandise ou qui ce considère de la propriété individuelle dans le sens que l’objet doit être intégrer dans un environnement social ou les individus cherchent à récupérer un avantage pour leur confort ou leur survie.

La piraterie va s’attaquer à réguler la sécurité des biens et marchandises par la mise ne place de ruse et donc accomplir des stratagèmes élaborant une pensée militaire grâce à des moyens logistique qui vont collaborer avec le capitalisme. Le butin qui est considéré comme un vol est la mise en évidence d’une faille de sécurité dont celle-ci à un coût de la valeur du butin. La faille de sécurité participe à l’armement des parties étant source de richesse pour sa protection future. L’exploitation d’une faille de sécurité dans un système appel sa consolidation par la mise en place de moyen qui vont définir un effort de guerre redistribuant les cartes de pouvoir. Le pouvoir est avant toute chose linguistique dans la capacité à communiquer et protéger les communications sur les flux de marchandise. Une ressource statique qui émet le moins possible dans une environnement est considéré comme en sécurité, c’est le mouvement qui échange de l’information sur la ressource pour la transformer qui est véritablement vectrice de valeur et de pouvoir. Plus l’univers est inerte, moins celui-ci à de valeur, le mouvement et l’inertie créé les étoiles qui vont produire de la richesse dans le coeur thermonucléaire en exploitant des ressources primaires pour obtenir des atomes secondaires par transmutation dans le temps.

De la nécessité de destruction, pour s’attaquer à une faille de sécurité il est nécessaire d’exploiter un coffre-fort qui est un moyen de dissuasion. Le niveau d’intelligence détermine la réussite du projet ou il est nécessaire de faire de la recherche sur la faille de sécurité. Ainsi toute faille de sécurité à en amont une surface de mouvement autour d’elle comme signature de l’intérêt pour son exploitation. Le système va produire du capital pour son exploitation. Plus l’intérêt est grand plus le système va s’organiser autour de la faille de sécurité en fonction du niveau d’intelligence créant un brouillard de guerre pour définir les acteurs. Plus on va allouer des ressources plus l’intérêt va grandir créant une fuite d’information probable en élargissant les flux d’échanges. Ainsi une entreprise devra obligatoirement faire à appel à de la piraterie pour consolider ces flux d’échanges comme signature de faille de sécurité sur leur manière de distribué la richesse.

Sur du long terme la rétention d’information sur des méthodes de travail pour produire de la richesse est contre productive car nécessite de toujours plus dépenser dans une architecture sécuritaire allouant un budget colossale qui sera de toute manière absorbé par la piraterie.