Dans mon roman de science-fiction, j'illustre par une pièce maîtresse de la secte islamique pour la conversion par le langage.
Mes premières réflexions étaient en prison, ou je cherchais à chiffrer mon esprit, rendre incompréhensible ma propre réflexion en inventant un langage dans mes crises psychotiques. Cela est devenu un obsession, et j'ai créé tout d'abord un système numérique en base 16 de symboles pour le calcul et l'optimisation des changements de base pour les ordinateurs.
Puis j'ai potasser l'idée, en développant en langage, ou j'ai fais des études en linguistiques en étudiants les propriétés des langues. J'avais l'arabe avec le Coran en prison, puis en UMD j'ai pris de la documentation pour étudier le mandarin et le coréen. J'avais le droit qu'à une heure d'informatique sur internet en UMD, c'était très limité, mais j'ai pus imprimer de la documentation.
C'est la genèse du Narkanta, et les nombres sont toujours ceux que j'ai développés en prison. Ils sont optimisé et leur construction suit une logique selon la théorie des graphes pour accélérer la puissance de calcul. C'est à dire que le symbole tel que nombre 2 évolue en 4 puis en 8 selon une logique exponentiel et de symétrie.
J'ai donc approfondi mes recherches, à Brest j'ai pris des cours de mandarin à l'institut Confucius. Et j'ai cherché à comprendre la structure du langage et sa construction.
Il me fallait créé un système de dictionnaire avec des clés de base permettant de construire tout le langage et inventé des mots. Le sinogramme étant essentiel.
Pour le choix de construire le dictionnaire, j'ai fais appel à des statistiques, en définissant les 600 mots les plus utilisés de langue française qui permet de parler la langue à 90% cela reste du vocabulaire épuré. Une langue devient compréhensible à partir de 300 mots, et un collégien connaît 3000 mots en moyenne. Les grands écrivains peuvent connaître plus de 10 000 mots tel que Maupassant.
L'empreinte cryptographique, est une signature du propre cerveau de l'inventeur du langage à travers des glyphes. Il faut associé 600 symboles tous différents pour augmenter la robustesse du langage et sa difficulté à casser par les ordinateurs sur le principe de machine de Turing et L'alphabet.
Le problème de la mémoire. La transliteration phonétique des mots n'est pas aléatoire. Quand vous inventé des sons, vous puisez dans une mémoire plus générique de l'univers à la base de la machine cosmique. Donc il y a un problème d'entropie, qui est une vulnérabilité.
La solution que j'ai trouvé, c'est générer des mots aléatoires avec un programme informatique, j'ai pas créé le programme, même si c'est facile à faire, il y a des sites internet qui le font. Et j'ai la flemme.
J'ai également amélioré le langage avec le Narkanta++ en utilisant les mots clés du C++ pour la programmation informatique.
Ainsi dans mon plan de protéger les machines virtuelles de la matrice de la création dans l'hébergeur, le langage est optimisé pour être incassable contre des attaques informatiques. Il est occulté, c'est un langage interdit tel que le parler noir du Mordor qui permet de contrôler l'Eon mais aussi d'y être soumis.
Il permet entre autres d'invoquer le portail multidimensionnel dans les mondes synchronisés dans les temples à la base des capsules temporelles, en connaissant la localisation.
Les administrateurs du logement de la matrice originel, les femmes du prophètes doivent apprendre le langage et donc ce convertir. Mais pour cela faudra venir le chercher dans la citadelle, et donc être soumis comme des chiennes dans la maison close. Car le langage n'est pas diffusé sur Terre (mais est open source en interne dans l'univers imbriqué) , il y a une version papier dans les capsules temporelles et numérique dans la carte microSD. J'ai une copie sur mon ordinateur en local tout est chiffré.
Il n'est pas totalement terminé, j'ai encore une 40ene de symbole à trouver, je sèche un peu, niveau créativité, imaginer 600 symboles différents est un exercice difficile.
Cette tâche ne peut pas être fait par des machines et intelligences artificielles, il faut des humains.