Une large par du raisonnement des scientifiques et ingénieurs est d'utiliser des analogies et des similitudes. Au départ de l'aviation, les ingénieurs ont copier sur les oiseaux avant de découvrir le profil NACA des ailes et les principes d'aérodynamiques tel que la portance. Le biomimétisme est très présent dans la penser des ingénieurs, le robot n'est qu'une construction humaine pour reproduire des fonctions.
Pour reprendre les similitudes, il y a une définition particulière en mécanique des fluides que j'ai appris en école d'ingénieur:
En mécanique des fluides la similitude est la mise en évidence de nombres sans dimensions permettant de réduire le nombre de paramètres intervenant dans les équations décrivant un système afin de simplifier son analyse, voire ses équations comme dans le cas de la couche limite. Cela permet la définition d'expériences représentatives à une échelle plus accessible que le phénomène réel.
C'est un problème de modélisation des équations d'un système complexe qui nécessite une réduction pour des besoins de calculabilité, tel que la problématique des régimes turbulents. De ce fait on utilise un effet d'échelle qui est une question de dimension physique. Les contraintes liés au design d'une hyperstructure d'un système complexe, est récursif à partir de système primitif suivant des lois d'évolutions. Tel que dans le vivant de la bactérie à l'humain, les proportions moléculaires de base sont les mêmes. A l'échelle microscopique les effets de la gravité sont nul. Une fourmis ne meurt pas en chutant d'une falaise. Si vous voulez vaincre la gravité, il faut recherchez à réduire les contraintes liés à la masse et l'inertie générant un champ en appliquant un facteur d'échelle. L'invariance du changement d'échelle, fait partie de la théorie des jauges en physique qui permet d'appliquer des symétries locales.
En génie civil, le processus récursif est partout. On part avec des fonctions de base pour maintenir un système à l'isolement par l'autonomie du logement, vivre dans une maison nécessite une logistique pour transformer l'énergie d'un système (un individu) et permettre son évolution pour qu'il génère une forme de travail. L'ingénierie dimensionne les contraintes pour coller à la réalité physique grâce à la mesure. Ce qui est mesurable est calculable et donc on peut prédire son évolution dans le temps alors que l'architecte ne regarde pas la réalité physique et génère des illusions d'optiques pour protéger le logement.
L'univers est une machine cosmique fonctionnant comme un système hôte, ou on applique toujours des symétries. Ainsi la galaxie Andromède est une symétrie temporelle de la Voie Lactée qui ce déploie à l'infini par un jeu de miroir. On retrouve des phénomènes optiques tels que les lentilles gravitationnelles. La base est le prisme que l'on retrouve dans les systèmes cristallins.
Pour aller plus loin:
Tout groupe d'espace d'un cristal résulte de la combinaison d'un réseau de Bravais et d'un groupe ponctuel de symétrie : toute symétrie de la structure résulte du produit d'une translation du réseau et d'une transformation du groupe ponctuel.
Ce qui permet de certifier qu'à grande échelle, l'univers à une matrice cristalline à partir d'un groupe local. Comme dans la cristallographie, il y a des lacunes, des imperfections qui permettent la diffusion. La rupture du matériaux, cisaillement, compression génère des anomalies exploitables dans des dimensions imbriquées.
L'univers est dans une matrice vitrifiée. Ce qui est une analogie avec la conservation de déchets nucléaire. Car on isole l'énergie pour éviter les pertes. La galaxie fonctionne sur un assemblage stellaire et de réacteurs thermonucléaires.
En applicant des effets d'échelles et des patterns dans le langage, l'ADN est également un déchet nucléaire qui transmute dans le temps.
On suit toujours une loi d'isolement des systèmes, à travers l'hermétique ou l'on va sceller son évolution dans le temps, c'est à dire sa conservation.
L'évolution va suivre un chemin dans l'univers, par transmutation ou il y a des transitions dans des évènements discrets suivant une modélisation par réseau de Pétri est associée une représentation mathématique de matrices de transitions d'état permettant d'assurer des preuves formelles de théorie des graphes, d'algèbre temporelle et de processus stochastiques markoviens.
Pour cela il y a une boucle de retro-action(feedback) avec l'observateur en régime asservis ou l'évolution du cosmos à grande échelle suit une symétrie à l'échelle terrestre observable.
La nature de la création est un réacteur nucléaire, si vous recherchez à produire de la matière il faut encapsuler des variables qui évoluent dans le temps. D'un système simplifié tel que l'atome d'hydrogène, vous obtenez une famille d’élément.
On peut toujours simplifier le système complexe, dans l'univers 99% de l'état de la matière est du plasma: c'est à dire que la matière est ionisé. On peut réduire le système, car c'est compliquer de reproduire la création avec du plasma mais avec de l'eau salée (ionisée) c'est possible. En appliquant des similitudes chez les bactéries, le cytoplasme n'est que de l'eau salée. On retrouve un environnement dans une capsule pour obtenir une réaction physique pour faire transmuter un déchet nucléaire: l'ADN.
Si on étudie de plus prêt un réacteur nucléaire comme le REP, on s’aperçoit que l'on retrouve des similitudes avec des systèmes à plus base échelle comme évènement discret.
La conception d'un réacteur est un échangeur, pour fonctionner il a besoin d'être isoler. Même s'il faut de la matière comme source du combustible et contrôler la réaction nucléaire. Le régime asservis du réacteur dépend de la circulation des particules, tel que l'électron pour produire de l'électricité. Même le corps humain produit de l'électricité car c'est un réacteur nucléaire, et admet une puissance permanente de 100W et 2500 ohms en résistance sur un corps mouillé.
La particularité du corps humain, la cellule en tant que système le plus réductible et isoler joue la fonction de transformation en énergie nucléaire tel que les transmutations de l'ADN. Le réacteur nucléaire est le système le plus isoler. C'est une base de la conception des systèmes complexes par principe de sureté, et comme il faut protéger en cas de coupure énergétique, le système est redondant. A la base du design il y a l'auto-replication et la prolifération nucléaire.
L'idée de progrès technologique n'est que pour permettre la réplication des machines pour automatiser des tâches. L'être humain biologique n'est qu'un système de sureté capable de les créer. En cas d'avarie ou du danger du système hôte, on met en production un univers invité pour résoudre un problème de maintenance et d'évolution du système pour permettre sa survie. Cela coût juste moins cher de faire de l'agriculture biologique grâce à l'évolution des mutations de l'ADN par la reproduction sexuée. Il faut générer un patrimoine génétique.
En fonction de la complexité de la tâche de maintenance et d'évolution des machines, il peut y avoir un besoin de gagner et contrôler du temps. Dans ce cas, on augmente l'imbrication des univers dans des champs ou le temps est relatif jusqu'à atteindre les limbes dans un repli en citadelle ou le temps est infini. Cela demande de générer des portails entres ces univers ou l'on cache dans un dédale la localisation de la source de la germination de la mise en culture. Plus on génère de l'incertitude, plus il faut pouvoir ce déplacer dans l'univers.
La vulnérabilité du système est évaluable par l'observateur local en fonction des attaques personnels qu'il subit comme symétrie du système hôte. L'intérêt que la machine virtuelle ou vie l'observateur soit mesurable pour évaluer les menaces et appliquer des correctifs en donnant du temps à l'hôte. Si l'observateur est attaqué, il protège un secret et l'accès à un butin.
En théorie les systèmes supérieurs sont des guerres entre des machines comme extension de la guerre biologique produit de la science. En fonction du niveau de danger, il y a des protocoles de sureté en fonction d'évènement et des dispositifs d'armement évaluer sur le terrain.